1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 passion, psychologie mondaine, succès du trio au théâtre — soit qu’on idéalise, ou subtilise, ou ironise, que fait-on si ce n’
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
2 .Corneille, ou le mythe combattu C’est dans le théâtre classique — donc au cœur même d’un ordre intolérant — que la passion
3 étendait guérir. D’où la tension inégalée de ce «  théâtre du devoir » — comme le récitent et le réciteront toujours ceux qui ne
4 c’est plutôt la frivolité du public ordinaire des théâtres , son sentimentalisme lourd, et pour tout dire sa faculté exceptionnel
5 mythe dans les mœurs, que les romans de série, le théâtre à succès, enfin le film. Le vrai tragique de notre époque est diffus
6 que chantaient les mystiques arabes. L’exemple du théâtre d’avant-guerre détient une signification plus riche pour notre objet.
7 e, donc admissible par l’ordre social — ce fut le théâtre de Dumas à Bataille. La fameuse « pièce à trois personnages », modèle
8 e par le soulagement du bourgeois… Ainsi, dans le théâtre , dans le roman à succès et dans le film qui exploitent inlassablement
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
9 és dans l’ère des libidos errantes, en quête d’un théâtre nouveau. Et le premier qui s’est offert, c’est le théâtre politique.
10 nouveau. Et le premier qui s’est offert, c’est le théâtre politique. La politique de masses, telle qu’on l’a pratiquée depuis 1