1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
1 a vraie richesse. De là sa modestie frappante, sa tolérance acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil ; son accuei
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
2 rsonne ne songe à contester l’opportunité. (Cette tolérance peut d’ailleurs paraître suspecte, à beaucoup de chrétiens.) C’est ai
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
3 du prochain comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
4 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
4 du prochain comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
5 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
5 place, sans raison et sans loyauté, mais dans la tolérance qu’on accorde aux flatteurs. Le plus beau de l’affaire, c’est qu’un h
6 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
6 celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolérance , teinté de renanisme, et considérant les conquêtes de la Réforme comm
7 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
7 du prochain comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
8 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
8 place, sans raison et sans loyauté, mais dans la tolérance qu’on accorde aux flatteurs. Le plus beau de l’affaire, c’est qu’un h
9 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
9 . Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette tolérance serait-elle d’aventure une sorte d’ironie philosophique ? « Parle tou
10 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
10 ant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en est un autre — d’une paralysie dont le germe circule dans le sang
11 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
11 . Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette tolérance serait-elle d’aventure une sorte d’ironie philosophique ? « Parle tou
12 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
12 ant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine tolérance en est un autre — d’une paralysie dont le germe circule dans le sang
13 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
13 ropagande soviétique et fasciste, toute espèce de tolérance polie serait déjà une complicité. Ce n’est pas ainsi que je conçois l
14 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
14 ou privées ? » Non, estime Cloots, bien que « la tolérance soit un mal nécessaire dans les conditions actuelles ». Car les spect
15 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
15 en même temps qu’elle donnera une grande leçon de tolérance et d’humanité. s. Rougemont Denis de, « [Entretien] Nicolas de Flu
16 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
16 te Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la tolérance , vertu qui naît en somme d’un scepticisme, car elle suppose que la pe
17 ormiser, et qui est donc une mort de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est l
18 et par là même il offre tous les avantages de la tolérance libérale, mais non pas ses inconvénients : car chacun dans le groupe
17 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
19 ues personnelles : mais c’est peut-être moins par tolérance réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, che
18 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
20 te Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la tolérance , vertu qui naît en somme d’un scepticisme, car elle suppose que la pe
21 ormiser, et qui est donc une mort de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est l
22 et par là même il offre tous les avantages de la tolérance libérale, mais non pas ses inconvénients : car chacun, dans le groupe
19 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
23 ues personnelles : mais c’est peut-être moins par tolérance réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, che
20 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
24 t l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écrivains. 7. Tolérance . — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le r
25 Tolérance. — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le respect des vocations supérieures ou rares, des exc
21 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
26 der concrètement que sur des bases chrétiennes de tolérance et d’amour du prochain. Mais je tiens à redire ici ce que je disais c
22 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
27 t l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écrivains. 7. Tolérance . — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le r
28 Tolérance. — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le respect des vocations supérieures ou rares, des exc
23 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
29 autres. D’où sa timidité déguisée en prudence et tolérance , par gain de paix ou par faiblesse. D’où sa crainte de s’affirmer tro
24 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). La grande « stratégie religieuse » de cette guerre (avril-mai 1942)
30 quer des phénomènes de compensation. Une certaine tolérance opportuniste, voisine de l’indifférence doctrinale, devait venir corr
25 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
31 sur « les derniers progrès de la science », cette tolérance même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
26 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
32 tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «  tolérance  » libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
33 matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance , mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
27 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
34 e d’accueillir les critiques avec mieux que de la tolérance  : avec une volonté souriante mais sérieuse d’apprendre et de s’amélio
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
35 es ou privées ? Non, estime Cloots, bien que « la tolérance soit un mal nécessaire dans les conditions actuelles ». Car les spect
29 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
36 sur « les derniers progrès de la science », cette tolérance même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
30 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
37 e d’accueillir les critiques avec mieux que de la tolérance  : avec une volonté souriante mais sérieuse d’apprendre et de s’amélio
31 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
38 a vocation. Ce ne serait pas même une question de tolérance , vertu purement négative et qui naît le plus souvent du scepticisme.
39 Je dis bien l’amour, et non pas le respect ou la tolérance . L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et même économi
32 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
40 mour (plus encore que le respect ou que la simple tolérance ) des complexités culturelles, psychologiques, et même économiques, te
33 1948, Suite neuchâteloise. IV
41 a vraie richesse. De là sa modestie frappante, sa tolérance acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil ; son accuei
34 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
42 a vocation. Ce ne serait pas même une question de tolérance , vertu purement négative et qui naît le plus souvent du scepticisme.
43 . Je dis bien l’amour et non pas le respect ou la tolérance . L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et même économi
35 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
44 arrive que la lettre d’un décret tue l’esprit de tolérance là où il existe, ou serve de prétexte facile à l’esprit d’intolérance
36 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les deux raisons de fédérer l’Europe (13 février 1950)
45 rculer, sur notre continent, qu’à la faveur d’une tolérance des fonctionnaires, et d’une espèce de tricherie générale. La preuve,
37 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
46 fécond, de la mise en question réciproque dans la tolérance mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
38 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
47 st dans le jeu ménagé entre ces éléments, dans la tolérance nécessaire que développent la dispersion et l’interpénétration de ces
48 d’une montre de précision, avec ce qu’il faut de tolérance entre les parties pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est p
49 tre les parties pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est pas seulement morale, ce « jeu » est prévu par les lois : ce so
39 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
50 pays composé de vingt-cinq patries minuscules, la tolérance est une nécessité vitale. Mais s’il n’est pas question d’éliminer le
40 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
51 clésiastiques, ce qui peut expliquer en partie la tolérance montrée par Rome, dans les débuts, à l’égard des innovations religieu
41 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
52 fécond, de la mise en question réciproque dans la tolérance mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
53 ation le meilleur de notre culture : non point la tolérance indifférente, mais le sens des tensions fécondes et de l’union dans l
42 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre XI. Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
54 qu’ils maintiennent ou restaurent. Cependant, la tolérance védantique a conduit l’Inde à la résignation, tandis que l’unitarisme
43 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
55 l’on pense toujours d’un lieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit
56 ieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit de l’affaire Calas, des co
57 cit de l’affaire Calas, des considérations sur la tolérance chez les Grecs, les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, d
58 par le PC. Le problème est de savoir si la vraie tolérance permet que l’on tolère le Parti. Un Mandarin dit au jésuite et aux de
59 mencent par n’être pas fanatiques pour mériter la tolérance . » Ailleurs encore, Voltaire approuve l’empereur Yont-Chin, le plus s
60 mlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la tolérance que Voltaire conclut à la dissolution nécessaire du PC. « Si leur ins
44 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
61 ne représentation du PCF au Parlement traduit une tolérance paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilège comparable à celui
45 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
62 artis à l’image de celui qui d’abord l’unifia. La tolérance mutuelle entre de tels partis est donc contraire à leur définition :
46 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
63 nt nos calamités », comme on lit au Traité sur la tolérance .   Sur les « mémoires d’une jeune fille rangée ». — L’une des derniè
47 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
64 e. Derrière les apparences de la rue, derrière la tolérance déjà presque sans bornes accordée à ce que l’on appelait naguère porn
65 t générateur de complexes et de névroses. D’où la tolérance que j’ai dite, et qui effraye tant d’observateurs. Avant de nous effr
48 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — V. Invasion de l’érotisme au xxe siècle
66 e. Derrière les apparences de la rue, derrière la tolérance déjà presque sans bornes accordée à ce que l’on appelait naguère porn
67 , générateur de complexes et de névroses. D’où la tolérance que j’ai dite, et qui effraye tant d’observateurs. Avant de nous effr
49 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
68 naturel, et consequemment indissoluble. La même tolérance doit s’étendre au domaine de la religion : Qu’est-il besoin de se fa
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
69 le qui puisse être établie chez les hommes est la tolérance  : la paix imaginée par un Français nommé l’abbé de Saint-Pierre, est
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Sixième Partie. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — 1. « Tout s’est senti périr »
70 Si nous ne sauvons pas les valeurs de liberté, de tolérance et de libre examen, dit l’un, — si nous ne sauvons pas, au contraire,
71 vient de sa répugnance pour tout fanatisme, de sa tolérance et de son penchant pour un scepticisme indulgent, en un mot de sa bon
72 it convaincu que le principe de la liberté, de la tolérance et du libre examen n’a pas le droit de se laisser exploiter par le fa
52 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
73 nnes organisées depuis quelques décennies avec la tolérance des hiérarchies ecclésiastiques, nous assistons dans cette génération
53 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
74 sur « les derniers progrès de la science », cette tolérance même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
54 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
75 tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «  tolérance  » libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
76 matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance , mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
55 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
77 emblent exclure. Tout ceci, non dans un esprit de tolérance mutuelle un peu condescendante, de laxisme théologique, ou simplement
56 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
78 vocation. Ce ne serait pas une simple question de tolérance , vertu négative et qui naît le plus souvent du scepticisme, mais plut
79 en l’amour, et non pas le respect théorique ou la tolérance complaisante. L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et
80 nt pas être imaginés sous la forme négative d’une tolérance mutuelle, d’une neutralisation des différences, d’un compromis conclu
57 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
81 t-être en partie par nos coutumes fédéralistes de tolérance calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
58 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
82 rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de tolérance calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
59 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
83 les vertus et les défauts typiques qu’appelle la tolérance fédéraliste. Enquêtes sociologiques, études d’opinion et analyse des
60 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
84 jeu ménagé entre ces éléments, dans la nécessaire tolérance que développent la dispersion et l’interpénétration de ces groupes, d
85 re de précision, avec tout juste ce qu’il faut de tolérance pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est pas seulement moral
86 ut de tolérance pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est pas seulement morale, ce « jeu » est prévu par les lois : ce so
61 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
87 les vertus et les défauts typiques qu’appelle la tolérance fédéraliste. Enquêtes sociologiques, études d’opinion et analyse des
88 vertus « fédérales » de sérieux, de solidité, de tolérance et de neutralité, en vient à déprimer l’élan verbal, le sens du jeu v
89 pays composé de vingt-cinq patries minuscules, la tolérance est une nécessité vitale. Mais s’il n’est pas question d’éliminer le
90 clésiastiques, ce qui peut expliquer en partie la tolérance montrée par Rome, dans les débuts, à l’égard des innovations religieu
62 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
91 rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de tolérance calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
63 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
92 la un milieu qui réponde, qui ménage une certaine tolérance aux innovations, voire aux excès, aux erreurs de ceux qui créent et q
64 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
93 chage sérieux et ça n’incite pas à l’effort, à la tolérance , l’amour difficile. Il manque le pacte. L’engagement total. Je ne cro
65 1970, {Title}. 1931-1937 ou les années tournantes (années 1970)
94 e linguistique, il eût fallu favoriser une grande tolérance de principe, mais on fit tout le contraire, et partout on prétendit q
95 la Grande-Bretagne seules, pour s’assurer de leur tolérance au moment où l’on se dispose à envahir l’Éthiopie. Et une fois l’agre
66 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
96 L’Europe est donc nécessairement une école de la tolérance . Elle ne doit condamner — dans son sein tout d’abord — que les régime
67 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — À la table ronde du Conseil de l’Europe
97 fécond, de la mise en question réciproque dans la tolérance mutuelle. Et cela nous a conduits à esquisser les principes d’une mor
68 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
98 révèlent bel et bien épuisables, et limites de la tolérance tant animale que végétale à la pollution sous toutes ses formes. Faut
69 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Quelques exemples d’engagements, du Moyen Âge jusqu’à nous
99 imple, l’anti-régime5. 3. Voir le Traité sur la tolérance . 4. Défense et réhabilitation finale de Calas, de Sirven, de Lally-
70 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
100 point dans les compromis dogmatiques ni dans une tolérance émue, mais à partir des divergences les plus strictement formulées. O
101 deux notes critiques à Esprit en 1936. Tant de tolérance envers des « fascistes antiouvriers » dépasse la mesure. Mais en juil
71 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
102 utions et nos comportements sociaux : solidarité, tolérance , sens des diversités, goût de l’autonomie, et non pas individualisme
72 1975, Tapuscrits divers (1980-1985). L’érotisme (août 1975)
103 tardivement, très partiellement. Et la très large tolérance que l’on accorde à la désinvolture des papes de la Renaissance, ou de
73 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
104 de la solidarité civique, de la mesure, et de la tolérance socratique. Mais elle nous montre aussi, dans la Rome impériale la na
74 1978, Tapuscrits divers (1980-1985). Le Grandchamp des Bovet (5 juin 1978)
105 l’humour peut être aussi une forme de l’esprit de tolérance en ceci qu’il tend à désamorcer la violence, à ralentir les réflexes
106 ne puis guère imaginer plus belle déclaration de tolérance intelligente que cette phrase tirée d’une de ses Lettres de Grandcham
107 iberté dans le respect de la liberté d’autrui, la tolérance comme forme d’intelligence, de compréhension et d’humour, — sinon d’a
75 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
108 uellement viable désormais. Première vertu : la tolérance Érasme le premier en fit l’éloge, et il est ainsi devenu le vrai p
109 enu le vrai père d’une éthique du fédéralisme. Sa tolérance n’est pas ce que l’on croit d’ordinaire, n’est pas manque de rigueur,
110 as acceptation bonhomme ou lasse d’une erreur. La tolérance est au contraire affirmation du bon droit absolu de la différence ; d
111 e sens de l’humour est une forme de cet esprit de tolérance qui est la première vertu fédéraliste, en ceci qu’il tend à désarmer
112 ne puis guère imaginer plus belle déclaration de tolérance que cette pensée du moraliste neuchâtelois Félix Bovet, publiée au dé
76 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
113 on et de la mesure, de l’esprit critique et de la tolérance socratique. Mais l’histoire nous montre aussi la naissance dans la Ro
77 1979, Tapuscrits divers (1980-1985). Obstacles au nouvel ordre économique international (NOEI) en Europe du Centre (24 septembre 1979)
114 es, biologiques) ont dépassé le seuil critique de tolérance pour l’espèce humaine et son environnement. Certes, l’Europe a invent
78 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
115 pour l’individu une sorte de morale ; celle de la tolérance , du fair-play, du respect de l’autre. Mais force est de constater qu’
79 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
116 tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «  tolérance  » libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
117 matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une tolérance , mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
80 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
118 fédéralisme et de sa vertu la plus profonde : la tolérance rigoureuse, — celle qui n’est pas facilitée, ni mollesse du jugement,
81 1988, Inédits (extraits de cours). Fédéralisme
119 ntarité parfaite des notions de fédéralisme et de tolérance . Le principe de tolérance s’est trouvé ouvrir la voie aux premiers th
120 ns de fédéralisme et de tolérance. Le principe de tolérance s’est trouvé ouvrir la voie aux premiers théoriciens du fédéralisme,