1 1970, Articles divers (1970-1973). Deux en un, ou le fédéralisme (mars 1970)
1 xterne comme visant cette fois-ci à l’intégration totale dans un super-État européen. Cette deuxième « idée » du fédéralisme,
2 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
2 istingue de toutes les autres par l’absence quasi totale de tabous et de règlements sexuels. Le peu qu’on y trouve vient de l’
3 03 millions d’Américains, on n’arrive pas même au total européen. Si ces chiffres ne nous rassurent pas, c’est que nous nous
4 ur un principe d’uniformisation, de subordination totale de tous à un ordre monolithique. Vous aimez ce que notre civilisation
3 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
5 résents. C’est dire que mis en face de l’héritage total , nous sentons qu’il comporte une part d’hérédité inéluctable, mais qu
4 1972, Articles divers (1970-1973). Autopsie d’un cas : Denis de Rougemont (15 mars 1972)
6 tés et des campagnes. Et au hasard de l’ignorance totale de ceux qui ont fait les traités. Et qui aujourd’hui encore délimiten
5 1972, Articles divers (1970-1973). Le sort de l’an 2000 se joue dans nos écoles (mars 1972)
7 urs collègues et leurs élèves avec une efficacité totale , ce serait encore dérisoirement insuffisant pour passer le seuil des
6 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
8 us ou moins actuelle ou virtuelle, mais jamais ni totale ni nulle, d’influencer une situation d’ensemble où l’on est pris, et
9 ion passive, obligatoire et universelle, est donc totale . Les limites extrêmes de la participation sont ici représentées par l
7 1973, Articles divers (1970-1973). De Genève à l’Europe par les régions (mars 1973)
10 raditionnelle ou prospective. La confusion semble totale et cependant, en observant les choses de haut, par grands ensembles,
8 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
11 de Tristan qu’il a trouvé son expression la plus totale , délicieuse et tragique à la fois. C’est à ce mythe qu’il doit, depui