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om de la rupture, son lieu, son mode et son enjeu
total
: rétablir à chaque instant le christianisme, dans sa nouveauté proph
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r en hommes responsables, à penser dans le risque
total
de l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatrices.
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e. C’est à l’homme qu’il faut dire oui, à l’homme
total
, à l’homme renouvelé. Nous ne clamons pas la fin de la littérature de
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itiale de l’humain ! Initiation au réalisme enfin
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, qui est celui du combat personnel ; initiation à la vision constitua
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n n’en attestait l’acte historique. L’incarnation
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de Dieu dans l’Homme, l’humanité parfaite de Jésus-Christ est la limi
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nt dans la description des douleurs physiques. Au
total
, Edschmid est plus fort. Attendrons-nous la prochaine guerre pour lir
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t les plans du réel, mais un moyen de rendre plus
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la vision. Tout, par ailleurs, indique chez Ramuz la volonté de ne pa
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qué par des puissances qui veulent son abdication
totale
, — ou sa révolte, mais au nom d’une vérité qu’il faudrait dire. Maint
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imum matériel, c’est l’évidence. Mais pas d’ordre
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sans une soumission organique du matériel au spirituel. C’est encore
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attirance, une secrète espérance dans le malheur
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, où peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on retrouv
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était la plus aiguë, la réponse, qui devait être
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, n’a été que « totalitaire ». Là où depuis cent ans ou plus la nation
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destin. 5. Le dilemme. Je parle ici de forces
totales
, de crise totale, et de destins communs : forces, crise et destins qu
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dilemme. Je parle ici de forces totales, de crise
totale
, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la
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’animal en nous qui frémira. Mais la protestation
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de notre esprit nous avertira d’un danger : ici commence un monde étr
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at devient totalitaire. « Là où l’homme veut être
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, l’État ne sera jamais totalitaire. » Or l’État, c’est un fait patent
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t à la génération des « anciens ». À cette erreur
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sur les faits, M. Benda ajoute une erreur non moins grave d’interprét
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ses doctrines corporatistes et paternalistes. Au
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, ce Manifeste de huit pages, clairement écrit, sans équivoques, intég
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bras séculier. (Sans compter que la Croisade, au
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, fut un échec dont la passion sut profiter.) C’est qu’avant tout et a
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e femme en la traitant comme une personne humaine
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, — non comme une fée de la légende mi-déesse mi-bacchante, rêve et se
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ve d’une existence autonome, étrangère, d’une vie
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dont il n’a désiré vraiment qu’un illusoire ou fugitif aspect, projet
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leur bonheur. (Ces choses-là sont trop simples et
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pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’ell