1
e ce désordre notre attitude est celle d’un refus
total
. Mais rompre avec ces apparences, ce n’est pas encore faire révolutio
2
et le temporel, il y a, pour nous, le lien d’une
totale
responsabilité. Quand nous disons « spirituel d’abord », nous ne voul
3
a construction d’un ordre qui implique la rupture
totale
avec le désordre régnant. Nous nous engageons donc dans une lutte rée
4
nous croyons que le spirituel, c’est l’engagement
total
de l’homme dans la tâche concrète que lui désigne sa vocation particu
5
e est notre Révolution, la seule réelle, la seule
totale
, et la seule qui s’attaque aux racines des mythes modernes, dont l’ex
6
suprême s’appelle l’État. Là où l’homme veut être
total
, l’État ne sera jamais totalitaire. 10. Et parmi eux, la majorité d
7
t toute construction, se fonde sur une conception
totale
de l’homme et sur une absolue intransigeance morale : en un mot, sur
8
nt dans leur vie la première révolution, la seule
totale
. La révolution pour nous n’est pas une profession, mais une attitude
9
ofond, dans tout homme, qui réclame cette épreuve
totale
de ses forces. Comment le satisfaire ? Moi. — Je vous aurais dit, il
10
he ». Le national-socialisme est le socialisme
total
Le secret de la « réussite » de tous ces hommes est simple. Ils on
11
siècle, tout cela exigeait un changement de plan
total
(spirituel autant qu’économique) non des réformes. À son défaut, la R
12
ps. Nous répondons que cette objection prouve une
totale
méconnaissance des buts de la Révolution personnaliste. L’autorité ré