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nne reste invisible… 3. Cette religion de l’Amour
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(amour de Dieu, de Soi et du Prochain) n’a pas de livres sacrés sur l
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t personnalisé, étant souvent sa création la plus
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et continue.) Certains mythes, c’est par eux ou contre eux que la per
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contribuant à les mieux révéler. Car le triomphe
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du mythe ne laisserait subsister qu’un type, supprimant du même coup
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ologie d’une vocation en exercice. Il parle de sa
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solitude. Il se dépeint non seulement privé de confident, mais seul a
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’autre la pensée est une passion, et l’expression
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de la passion ne peut être que musicale. « Par la musique, les passio
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ent vécue, de son Éros ? C’est la passion unique,
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, et malheureuse ; et par ce malheur même, salvatrice. L’amour humain
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éalités hétérogènes : — sa croyance en l’altérité
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de Dieu et en l’unicité de l’amour humain ; — la « mélancolie » qui l
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d’André Gide est celui d’une dissociation presque
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de la personne, et qui l’a livré sans défense à la tyrannie de deux m
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lors sa conception de la musique comme absorption
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du contenu dans la forme, où il voit un équivalent de l’unité du Tout
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indous cherchent le samahdi, qui est l’absorption
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dans l’Absolu du Soi : le grand sommeil, lentement atteint, et qu’on
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t l’aider à naître. Ainsi l’amour dans sa réalité
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, intégrant l’animique au spirituel, va toujours de personne à personn
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à son corps ou à son esprit — ou encore à son moi
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non reconnu, non respecté dans son autonomie. Ici, le brahmane interv
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l’Amour n’est pas un sentiment, mais la situation
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de celui qui aime, orienté vers la vérité. » Preuve de validité de c