1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
1 le fer d’une main assurée. Vos critiques ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tiennent pas compte des faits qui nous ont imp
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
2 la conquête d’un avenir de joie et de force. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cela derrière soi, mais elle
3 espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on retrouvera des raisons sérieuses
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
4 tout simplement ! Et si la droite ignore ce que «  touche  » la gauche, voilà la droite aussi qui du coup se distingue, et l’on
5 surfaces, et l’on reconnaît le voleur, celui qui touche à tout, celui qui touche au bien d’autrui. Car celui qui touche un ob
6 aît le voleur, celui qui touche à tout, celui qui touche au bien d’autrui. Car celui qui touche un objet sans le marquer profo
7 celui qui touche au bien d’autrui. Car celui qui touche un objet sans le marquer profondément de son empreinte et le faire si
8 dément de son empreinte et le faire sien, ne peut toucher jamais qu’au bien d’autrui. Ce qu’il a pris ne saurait être à lui : i
9 oudrait d’embellir quoi que ce soit de ce qu’elle touche . « Le beau est la splendeur du vrai », récitera-t-elle parfois, mais
10 rmation presque universelle, une impartialité qui touche au surhumain, qui dépasse en tout cas notablement les possibilités af
11 ission spirituelle de la pensée bourgeoise ? Nous touchons ici au dernier chaînon de notre cycle. Bon gré mal gré, le clerc ense
12 ens à marquer toutefois que le complexe auquel je touche ici n’est pour moi qu’une conséquence accessoire des erreurs que je v
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
13 les vrais dilemmes que pose la vie commune, nous toucherons enfin le vrai tragique, qui est celui du péché et de la foi. L’extrém
14 ’aller jusqu’à la fin de leur passion, là où l’on touche les vraies bornes de l’homme, la mort, la destruction, l’angoisse et
15 ontraire de ce qui est extrême. Les extrêmes nous touchent , et c’était pour les fuir que nous nous évadions dans des excès imagi
16 r l’homme qui l’ose. Et c’est par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le lecteur, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si j
17 tranchant, sa vertu, son pouvoir d’ordonner et de toucher . La révolution nécessaire, et non seulement dans le domaine de la cul
18 le voilà joyeux parce qu’il a trouvé, et que cela touche d’autres hommes, qui ne savaient plus… Un style de vie : mais que cel
19 nt, c’est d’être séparé de notre origine absolue. Toucherait -on ici au quiétisme, au fatalisme ? Mais non, tout se renverse ! Car
20 i le dernier paradoxe : c’est cet instant où nous touchons la mort qui recrée notre vie temporelle. Tout aussitôt, nous replonge