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le fer d’une main assurée. Vos critiques ne nous
touchent
pas, parce qu’elles ne tiennent pas compte des faits qui nous ont imp
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la conquête d’un avenir de joie et de force. On a
touché
le fond de la misère, on l’a vécue, on a cela derrière soi, mais elle
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espérance dans le malheur total, où peut-être on
touchera
de nouveau le réel, où peut-être on retrouvera des raisons sérieuses
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tout simplement ! Et si la droite ignore ce que «
touche
» la gauche, voilà la droite aussi qui du coup se distingue, et l’on
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surfaces, et l’on reconnaît le voleur, celui qui
touche
à tout, celui qui touche au bien d’autrui. Car celui qui touche un ob
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aît le voleur, celui qui touche à tout, celui qui
touche
au bien d’autrui. Car celui qui touche un objet sans le marquer profo
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celui qui touche au bien d’autrui. Car celui qui
touche
un objet sans le marquer profondément de son empreinte et le faire si
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dément de son empreinte et le faire sien, ne peut
toucher
jamais qu’au bien d’autrui. Ce qu’il a pris ne saurait être à lui : i
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oudrait d’embellir quoi que ce soit de ce qu’elle
touche
. « Le beau est la splendeur du vrai », récitera-t-elle parfois, mais
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rmation presque universelle, une impartialité qui
touche
au surhumain, qui dépasse en tout cas notablement les possibilités af
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ission spirituelle de la pensée bourgeoise ? Nous
touchons
ici au dernier chaînon de notre cycle. Bon gré mal gré, le clerc ense
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ens à marquer toutefois que le complexe auquel je
touche
ici n’est pour moi qu’une conséquence accessoire des erreurs que je v
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les vrais dilemmes que pose la vie commune, nous
toucherons
enfin le vrai tragique, qui est celui du péché et de la foi. L’extrém
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’aller jusqu’à la fin de leur passion, là où l’on
touche
les vraies bornes de l’homme, la mort, la destruction, l’angoisse et
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ontraire de ce qui est extrême. Les extrêmes nous
touchent
, et c’était pour les fuir que nous nous évadions dans des excès imagi
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r l’homme qui l’ose. Et c’est par là qu’une œuvre
touche
le spectateur ou le lecteur, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si j
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tranchant, sa vertu, son pouvoir d’ordonner et de
toucher
. La révolution nécessaire, et non seulement dans le domaine de la cul
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le voilà joyeux parce qu’il a trouvé, et que cela
touche
d’autres hommes, qui ne savaient plus… Un style de vie : mais que cel
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nt, c’est d’être séparé de notre origine absolue.
Toucherait
-on ici au quiétisme, au fatalisme ? Mais non, tout se renverse ! Car
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i le dernier paradoxe : c’est cet instant où nous
touchons
la mort qui recrée notre vie temporelle. Tout aussitôt, nous replonge