1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 in d’une interminable patience. N’est-ce point ce tréfonds dont parle Jacob Boehme, et qui « contient l’élément pur, mais aussi
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
2 ntique présuppose l’existence d’un centre ou d’un tréfonds divin de l’âme (c’est l’Un-grund de Jakob Boehme), dont on ne peut ri
3 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 1. Le silence de Goethe
3 in d’une interminable patience. N’est-ce point ce tréfonds dont parle Jacob Boehme, et qui « contient l’élément pur, mais aussi
4 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
4 ntique présuppose l’existence d’un centre ou d’un tréfonds divin de l’âme (c’est l’Ungrund de Jakob Boehme), dont on ne peut rie
5 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
5 au fond de nous-mêmes, à l’insu de nous-mêmes, au tréfonds de notre inconscient, la guerre nous plaît ? Il est clair que nous ju
6 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
6 elle soit portée par une passion qui jaillisse du tréfonds de sa foi créatrice. Les hommes qui ont fait l’histoire sont ceux qui
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
7 et d’aventure par de pauvres succédanés, jusqu’au tréfonds religieux, lequel fut la ligne de défense et de contre-attaque de l’A
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
8 elle soit portée par une passion qui jaillisse du tréfonds de sa foi créatrice. Les hommes qui ont fait l’histoire sont ceux qui