1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
1 qu’il figure en quelque sorte l’étymologie d’une tradition de l’Art qui traversera les siècles. Mais les traits de cette gracieu
2 es ces divinités qui se multiplient et toutes ces traditions locales qui se diversifient. En lui se termine et s’achève la longue
3 n point de départ. Cependant, les légendes et les traditions s’embrouillent, se compliquent, s’effacent. Tandis que disparaît la d
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
4 remonter, dès le ive siècle de notre ère, cette tradition indépendante de la Grèce : nous l’appellerons le Mythe de Japhet. Sel
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. IV. Cadmus ou la quête d’Europe
5 interprétation phénicienne, tandis que, selon la tradition biblique, c’est aux descendants de Japhet qu’aurait été promis le con
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
6 crée des Celtes, qui paraît avoir été commune aux traditions sacrées de toute l’Europe, commençait un jour après le solstice d’hiv
5 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
7 usqu’à nos jours qui déclarent s’inspirer de « la Tradition  », D. de Rougemont donne le tableau suivant formé de quatorze antithè