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i la conception de la « personne » qui suppose la
tradition
grecque et le vocabulaire romain, ni même la conception de l’Unité ou
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iturgique, en particulier chez les protestants de
tradition
calviniste. L’un entraîne l’autre, le requiert et le favorise. Les je
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e, sublime dans la mesure où la synthèse des deux
traditions
sera dominée par l’élément biblique.) Seuls les grands discours proph
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mmercer : l’écriture, la parole et l’action, — la
tradition
, la prophétie, la guerre… Mais cet extrême dénuement, ce résidu d’exc
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éraux de la pensée hellénistique, mais de la pure
tradition
hébraïque, représentée par la Loi et les Prophètes. L’Église primitiv
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ciliable opposition dont s’était nourrie toute la
tradition
judaïque. C’est précisément ce sens de la continuité historique et de
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Réforme par le retour à l’Ancien Testament et aux
traditions
prophétiques. Mais sait-on à quel point tout cela vit encore dans les
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s pâtissent de n’avoir point connu l’existence de
traditions
soit orthodoxes soit hérétiques, c’est le cas le plus fréquent, dont
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al grec serait venu combler, en s’amalgamant à la
tradition
chrétienne — quitte à s’en distinguer de nouveau à l’époque de la Ren
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inséparables. Je les rattache à nos plus grandes
traditions
: le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provien
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taches doctrinales aristotéliciennes et sa longue
tradition
d’hostilité à la liberté de recherche comme aux aspirations démocrati
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i sont les fondements du christianisme et que les
traditions
orientales semblent exclure. Tout ceci, non dans un esprit de toléran