1
t de scepticismes, dont le plus simple consiste à
traduire
ce que l’on voit. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux
2
p de reconnaissance à M. André Babelon pour avoir
traduit
et introduit avec tant de justesse, voire de profondeur, la Mort d’Em
3
itablement « posthumes », que Pierre Jean Jouve a
traduits
dans la langue fluide mais jamais abstraite qui est celle de ses Noce
4
ont je me demande s’il était bien légitime de les
traduire
. On a respecté scrupuleusement les « blancs » que Hölderlin indiquait
5
erlin que MM. Groethuysen et Jouve ont choisis et
traduits
à la suite des poèmes, ils ne sont pas ce que ce petit livre contient
6
touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui
traduisent
, à tout prendre, une vérité particulière plus importante que cette vé