1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 t de scepticismes, dont le plus simple consiste à traduire ce que l’on voit. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
2 p de reconnaissance à M. André Babelon pour avoir traduit et introduit avec tant de justesse, voire de profondeur, la Mort d’Em
3 itablement « posthumes », que Pierre Jean Jouve a traduits dans la langue fluide mais jamais abstraite qui est celle de ses Noce
4 ont je me demande s’il était bien légitime de les traduire . On a respecté scrupuleusement les « blancs » que Hölderlin indiquait
5 erlin que MM. Groethuysen et Jouve ont choisis et traduits à la suite des poèmes, ils ne sont pas ce que ce petit livre contient
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduisent , à tout prendre, une vérité particulière plus importante que cette vé