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s prétendent « entrer dans l’action », et cela se
traduit
par de généreux manifestes, des formules vagues, à peine sonores et t
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e définition concrète de la personne. Enfin de la
traduire
en institutions et coutumes. Ou, tout au moins, d’indiquer les limite
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ion »13 jusqu’à l’espèce de délire obsidional que
traduisent
ses dernières déclarations publiques contre toute forme d’union de l’
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péenne ». L’argument ne vaut strictement rien, ne
traduit
qu’ignorance et myopie historique. II. Le « volapük » européen
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ble que les inscriptions sur nos monuments seront
traduites
en « volapük ». À ces fantasmes, on ne saurait opposer que la réalit
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sse s’offrir le luxe, de plus en plus ruineux, de
traduire
tous ses documents obligatoirement en un nombre croissant de langues.
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lleurs, trouvera-t-on les interprètes capables de
traduire
du grec en portugais ou du danois en turc ? Ici, on touche à l’absurd
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par lequel tout national pourra toujours se faire
traduire
tout dans sa propre langue. L’option pour trois langues, dites « prin
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mais sur les visées politiques qu’elle est censée
traduire
tout en les dissimulant. 2. Dans les écoles primaires de Suisse roma
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vois que la Didactica Magna, écrite en tchèque et
traduite
par l’auteur en latin, a été traduite depuis un siècle en français, e
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tchèque et traduite par l’auteur en latin, a été
traduite
depuis un siècle en français, en anglais, en espagnol, en italien deu
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té sur toute autre vertu cardinale. Raymond Barre
traduisait
fidèlement, à sa coutume, le sentiment moyen de ses compatriotes, lor
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espoirs qu’ils mettent dans un avenir d’union qui
traduirait
en libertés proprement politiques les principes qui ont formé d’un mê
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s là-bas, ils m’écrivent souvent, me téléphonent,
traduisent
mes livres. Je sais qu’ils sont plus Européens que beaucoup d’entre n