1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 ir au langage du paradoxe. Car tout autre langage traduirait l’impossible en termes de synthèse, l’objectiverait, le ferait tomber
2 ent ? Langage affreux, dira-t-on non sans raison. Traduisez -nous un peu tout cela dans notre parler quotidien. Nous dirons donc :
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
3 ficatif que le mot de Ehrfurcht qui, chez Goethe, traduit la vénération de l’homme en présence de la Nature ; que le mot de awe
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 s cependant, que je devais dire certaines choses, traduire au moins, tant bien que mal, mon anxiété. Mais le lieu ne s’y prêtait
4 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
5 rer. Cette opinion commune, je suis certain de la traduire sans la fausser quand je dis que le catholique, en tant que tel, croi
6 croyons de toute notre foi31, devient faux et ne traduit qu’un subjectivisme absolu dès qu’on le sépare de l’Écriture, qui nou