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ir au langage du paradoxe. Car tout autre langage
traduirait
l’impossible en termes de synthèse, l’objectiverait, le ferait tomber
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ent ? Langage affreux, dira-t-on non sans raison.
Traduisez
-nous un peu tout cela dans notre parler quotidien. Nous dirons donc :
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ficatif que le mot de Ehrfurcht qui, chez Goethe,
traduit
la vénération de l’homme en présence de la Nature ; que le mot de awe
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s cependant, que je devais dire certaines choses,
traduire
au moins, tant bien que mal, mon anxiété. Mais le lieu ne s’y prêtait
5
rer. Cette opinion commune, je suis certain de la
traduire
sans la fausser quand je dis que le catholique, en tant que tel, croi
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croyons de toute notre foi31, devient faux et ne
traduit
qu’un subjectivisme absolu dès qu’on le sépare de l’Écriture, qui nou