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2. Hildur Dixelius von Aster : Sara Alelia, roman
traduit
du suédois par Anne-Marie des Courtis. Éditions « Je sers », Paris.
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ur civisme. La structure politique des États-Unis
traduit
aujourd’hui encore le jeu complexe de ces apports religieux successif
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stent les mêmes quoi qu’il arrive, c’est qu’elles
traduisent
une certaine forme d’esprit, une cécité partielle devant les leçons d
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Messieurs les députés européens, J’ai tenté de
traduire
le sentiment des peuples en face de l’inertie de l’Assemblée. Ce n’ét
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’Histoire. Le malentendu avec l’Occident — qui se
traduisait
alors par une ingérence qualifiée dans les affaires d’un autre pays —
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nt les ludions de l’inconscient collectif, ils en
traduisent
et révèlent les courants, mais n’agissent plus sur eux. C’est à l’ess
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ieurs inédits. Ces ouvrages, et d’autres, ont été
traduits
en norvégien, en grec, en anglais, en catalan, en portugais, en japon