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blic, je le répète, Gide, Claudel, Valéry (jamais
traduit
), Mauriac, Bernanos, Ramuz, Breton, Fargue, Paulhan et Michaux. Cepen
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ter que Kierkegaard, précisément, est entièrement
traduit
en Amérique, et que j’ai trouvé partout des étudiants — non seulement
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non plus sans beaucoup d’amitié. 3. Courtiser
traduirait
trop faiblement ce terme courant en Amérique, même dans la bouche des
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ou compromis. (Mais c’est un mot très difficile à
traduire
dans notre coutume.) Je crois qu’à cet égard les jugements moraux de
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e. Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne
traduisent
que ses rêveries, dans un style emprunté aux nègres. Mais sa vie amou