1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 même de la fédération, l’esprit communautaire se traduisit par deux traits bien remarquables : la lutte contre toute hégémonie a
2 ce refus instinctif de toute hégémonie devait se traduire , dès les premiers temps, par une sorte d’égalitarisme très particulie
3 s durement. L’égalitarisme des anciens Suisses se traduisait par une méfiance active à l’égard des personnalités trop affichées, d
2 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
4 Markgenossenschaften (corporations forestières ; traduit -on « à droite », coopératives dit-on « à gauche ») puis avec les corp
3 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
5 agitation. Cet apaisement, cette paix officielle, traduisent -ils une compréhension mutuelle plus profonde ? On peut en douter. Cha
6 être attribué à la seule influence de Zwingli. Il traduit d’une part la volonté originelle de se distinguer du catholicisme rom
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
7 à l’endroit des « aventures étrangères ». Elle se traduit par une coutume bizarre, qui veut que les ministres suisses, c’est-à-