1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
1 vénement, forme-matière… ces couples dialectiques traduisent dans l’œuvre unique où ils se rendent indivisibles — et c’est créer —
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
2 ntimentale. Pourquoi faut-il que notre langue les traduise , en vertu d’une convention qu’il serait temps de réviser, par « démes
3 éconnaître une vision du monde qui demain peut se traduire en arguments sanglants. Et s’il est des domaines où de nos jours, l’o
4 ants à l’extrême pour l’autre. Agacement que l’on traduit en s’accusant réciproquement de mensonge chronique. Et de fait, la br
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 t de scepticismes, dont le plus simple consiste à traduire ce que l’on voit. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux
6 touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduisent , à tout prendre, une vérité particulière plus importante que cette vé
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
7 ations pratiques avec le commerce quotidien. J’en traduis cette page Sur la mort. Mes funérailles devront se dérouler dans le
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
8 ge certain de tabler sur une utopie partiellement traduite en faits. C’est même, à voir les choses de près, leur meilleur argume
9 e Proudhon et de Marx, sur le terrain économique, traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine re
10 gaard et de Hegel dans le domaine religieux. Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des patries personn
11 oiter le fonds précieux des auteurs qu’elle avait traduits et introduits en France : Luther, Kierkegaard, Berdiaev, Karl Barth e
12 1958. 18. Les deux groupes avaient même souci de traduire une définition de l’homme en tant que personne dans des structures dy
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
13 t quel immense désir de réveiller le peuple elles traduisent chez certains qui les prononcent de bonne foi. Elles le trahissent d’
14 ser que par l’effort d’écrire ici des mots qui la traduisent et la trahissent ? D’où vient cette espèce d’optimisme que rien ne pa
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
15 mentale, mystique ou sensuelle, qui ne saurait se traduire en termes de raison. Mais je la tiens pour néfaste quand elle sort du
16 un mieux. Or, ma faiblesse veut que cet effort se traduise chez moi, d’ordinaire, par une simple mauvaise humeur (trop justifiée
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Avertissement
17 sychologique, centré sur des héros individuels, a traduit la réalité de l’époque qui prend fin sous nos yeux, il se peut que le
18 orresponde à la réalité d’un temps nouveau : elle traduit les relations d’une personne avec les passions collectives. Demain pe
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
19 naissons pas ce genre de littérature en France. —  Traduisez -moi le titre ! — « Petit manuel des mères ». Rageur, il fouille dans
20 de tête est intitulé : Arrogance académique. J’en traduis quelques passages : Il fut un temps en Allemagne où l’on se croyait
21 tte croyance. Et ensuite, mais ensuite seulement, traduisons chacun de ces termes par la réalité qu’il cache. Liberté veut dire ré
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
22 veau, le signe d’une volonté d’hégémonie. C’était traduire en termes classiques la réalité pressentie de la nouvelle religion to
23 qui permettra de faire la guerre, c’est-à-dire —  traduit en allemand — d’affirmer une « vitalité sûre d’elle-même » et de « co
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
24 de leur métaphysique inconsciente. Et leur style traduisait fidèlement les nuances d’une pensée détachée, irresponsable par défin
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
25 Baldung Grien et Conrad Witz, personne n’a mieux traduit et illustré les vertus qui devraient nourrir, aujourd’hui, notre espr
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
26 ivre sur la Suisse. Il ne paraîtra qu’en octobre, traduit , truffé et adapté par les soins d’une amie américaine qui adore mon p
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
27 s ouvrages qui m’ont le mieux servi ne soient pas traduits en français : Philosophie und Religion de C. G. Jung, Homo Ludens de
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
28 urieusement étranger à ce qui se passe, et que je traduis en nouvelles ou commentaires. Comme si le vrai débat tragique avec Hi
29 n officiel à cette époque. 95. Terme difficile à traduire , qui signifie en Amérique le brillant ou l’éclat d’une femme, d’une r
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
30 is plus qu’un de nos plus grands millionnaires se traduit par certains avantages sensibles, ou simplement par des soucis accumu