1
on de ses usines, des salaires, des conditions de
travail
et de repos qu’il offre à ses ouvriers semblent bien apporter une sol
2
régler pacifiquement le conflit du capital et du
travail
. « Se fordiser ou mourir », écrivait récemment un économiste. Ford, p
3
s tarifés, soumis plus subtilement encore que son
travail
aux lois d’une offre et d’une demande sans rapport avec ses désirs ré
4
il ne lui manque plus rien — que l’envie. Mauvais
travail
. Il a perdu le sens religieux, cosmique, de l’effort humain. Il ne pe
5
sa véritable valeur. Il sent obscurément que son
travail
est antinaturel. Il le méprise ou le subit, mais, jusque dans son rep
6
leur service militaire et ses humiliations, leur
travail
, leur chômage, leurs vacances, les guerres, les grèves, les pourritur
7
haine, parqués dans des casernes ou des camps de
travail
, — et mourant de solitude. J’ai terminé ma description du siècle. Est
8
s souffrent, ce n’est pas seulement de manquer de
travail
et de ne pas gagner leur pain, mais c’est surtout de constater que l’
9
es dont on s’acquitte avec son argent ou avec son
travail
, mais de sacrifices pour lesquels on joue sa propre existence intérie
10
il est juste d’insister sur la grande valeur des
travaux
de quelques spécialistes français qui, au niveau de la haute culture,
11
ir l’affirmer. L. — Soit, c’est une hypothèse de
travail
… Pour moi, je crois que Dieu connaît la fin, la somme, la valeur abso
12
des pages qui suivent : c’est celui d’un plan de
travail
, d’un sommaire. Certains conflits permanents de l’histoire ont pris