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tre, ont été confirmées avec éclat par de récents
travaux
d’érudition. Bon. Mais vous tentiez aussi d’expliquer l’homme contemp
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n de toute existence communautaire et de tout bon
travail
en commun, l’on sera conduit à préférer la multiplication de petites
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C’est là que je l’avais surpris un jour en plein
travail
— on ne devrait jamais faire ça — pour découvrir qu’avant, ailleurs,
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sistait pour m’en lire des chapitres décrivant le
travail
et les plaisirs « réglés » des ouvriers, de l’utopie phalanstérienne.
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ne rue de Paris où l’on se hâte vers l’école ; le
travail
, et au fil des années, sa longue amitié souvent difficile. Des rires.
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oit, empesé. Le regard ne me quittait pas. — Quel
travail
préféreriez-vous, Monsieur ? — N’importe quoi qui soit utile. Et dès
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t étatique des nations. À l’aspect négatif de ses
travaux
, elle ajouterait l’étude on ne peut plus positive de la renaissance d
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trepris et mené à bien cet immense et intéressant
travail
. Je vous en remercie aussi parce que nos efforts actuels, en vue de b
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, d’autre part on cherche à institutionnaliser le
travail
collectif, pour développer le sens social. Dans le premier cas, comme
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position entre l’enseignement individualisé et le
travail
collectif, mais bien une complémentarité. Je ne crois pas que des élè
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ôles dont nous avons parlé : individualisation et
travail
collectif. À supposer que tout le monde admette que l’un et l’autre s
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o, qu’à gauche on aura tendance à insister sur le
travail
en groupe, à laisser les élèves rapides et les élèves lents ensemble