1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 ou aussi leur fatigue après une longue journée de travail . Mais beaucoup ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus pour tuer
2 vec les gros. D’autre part, c’est une question de travail , de salaires, de prix de la vie, et là les intellectuels ne servent à
3 s ou chefs, — kolkhozes, corporations ou camps de travail . Mais ici que feraient-ils de tout cela ? Ils ont la liberté, et cela
4 et gais, et qui ont toutes les raisons d’aimer le travail et de le faire bien : c’est moderne, c’est sportif, cela vous pose da
5 , sans direction. Nous ne savons pas que lire. Le travail est dur, ici. Il faut lutter contre les parents, contre la concurrenc
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
6 s des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cet
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
7 l’Europe. On put croire un moment que tout notre travail allait être effacé pour toujours. C’était compter sans les mouvements
8 ts pour l’union de l’Europe dressait les plans de travail pour La Haye. Il groupait les quatre organisations suivantes : Union
9 d’un Centre européen de la culture et de nombreux travaux économiques. Au début de novembre 1948, l’Union européenne des fédéra
10 ne de nos commissions siégeait dans le cabinet de travail du dictateur, et les séances plénières eurent lieu dans la salle même
11 uvement européen, appuyé par la propagande ou les travaux spécialisés des six mouvements qui le composent, va se porter au cour
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
12 peuples sont encore indifférents ou hostiles aux travaux de Strasbourg, il faut éviter à tout prix de se porter en avant sans
13 formation à Genève). Ces décisions couronnent le travail obstiné de quelques petites équipes au sein du Mouvement européen. Bi
14 ’un des observateurs américains qui assistait aux travaux de l’Assemblée, et qui a pu voir notre Mouvement à l’œuvre, s’écriait
5 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
15 le synthétique et le radar, la rationalisation du travail industriel, la construction métallique, le syndicalisme et les coopér
6 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
16 alistes, patrons et gouvernants, c’est le goût du travail dont on a pu écrire qu’il est « le mode existentiel des Suisses », la
17 ieu et place de l’habituel verset biblique : « Le travail fut sa vie. » C’est aussi « leur seul mode de promotion »17, dit-on e
18 t dur et passent inaperçus. Cette prédominance du travail sur toute autre valeur ou passion se marque par une grande stabilité
19 portantes, participent en une certaine manière du travail  », observe encore l’enquête déjà citée. Lire, aller au théâtre, écout
20 eur. D’où il résulte, par exemple, que le goût du travail correspond chez le Suisse moyen à une exigence morale plutôt qu’au se
21 ni la spéculation dans aucun ordre, enfin que le travail est sa vie, est-ce le vanter ou le dénigrer ? Il est clair que c’est
22 gies à ceux qui signent des contrats de « paix de travail  ». (Il n’est pas interdit de se former des jugements plus nuancés ou
23 ont les seules richesses furent fabriquées par un travail humain bien concerté, la Suisse est née de la coopération. Un pour to
7 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
24 ongrès européen qu’une journée fût réservée à des travaux sur le fédéralisme. Le représentant du Conseil de l’Europe tint à déc
25 ossibilités de recherches très spécialisées et de travail interdisciplinaire. L’analyse conduit à souhaiter l’adoption, comme m