1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
1 et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût au travail , qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et autres bal
2 rdonne tout, plaisir, goût au travail, qualité du travail , santé, liberté, sens de la justice et autres balivernes, instruction
3 qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâcher leur travail . Or ce travail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle,
4 nt. Ils sont forcés de gâcher leur travail. Or ce travail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle, il est absurde.
5 jour durant 8 ans. Il paraît que cela facilite le travail du maître. Il se peut. Tout dépend de ce qu’on attend de ce travail.
6 Il se peut. Tout dépend de ce qu’on attend de ce travail . Je doute qu’il soit de nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
7 On n’a pas attendu ma colère pour entreprendre ce travail de démolition. Il suffit pour s’en convaincre de parcourir l’abondant
8 er plus de liberté aux enfants en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la possibilité de trouver par eux-mêmes ce
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
9 riorités naturelles, l’habitude de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à lire les journaux, mais en même temps que cette
10 paré le monde moderne à un vaste établissement de travaux forcés. L’école donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’é
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
11 supporte, on économiserait plusieurs semestres de travail . Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vou