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t à la mastication, entre deux séries d’heures de
travail
consacrées, si l’on ose dire, à assurer cette mastication. Mais je m’
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nulle gêne, unit le maître et les subordonnés. Le
travail
aux champs se fait par équipes très nombreuses, à grand renfort de ch
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essaire. Leurs plaisirs ne contredisent pas leurs
travaux
et n’en figurent ni la revanche ni l’évasion : mais ils s’ordonnent t
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des choses. Le rythme perpétuellement syncopé du
travail
et du loisir, créé par l’économie citadine, ici s’apaise et laisse pe
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romans anglais, les loisirs obsédés du jaloux, le
travail
jusqu’à l’aube, la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en