1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
1 ens, de spécialistes et de « compétences » : leur travail est indispensable, mais il ne saurait être utile que s’il est orienté
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
2 es est double : il est d’une part d’économiser du travail d’hommes par les machines, et donc de créer du loisir ; d’autre part,
3 séculaire, entreprennent, dès maintenant, un gros travail de déblaiement, d’études précises, de calculs réalistes. Ces hommes n
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
4 juste contrepartie des risques qu’on y court, du travail qu’on y donne. Si le propriétaire laisse ses terres en friche, et s’e
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
5 modèle valable pour l’Europe de demain. Voilà un travail immédiat. Nul besoin, cette fois-ci, d’attendre que la paix s’approch
5 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
6 xiste entre « faire de l’ordre » sur une table de travail et « arranger » des papiers. Il arrive que ma femme de ménage fasse d
7 pas à définir, mais que m’indique à coup sûr mon travail , j’entends l’œuvre que j’ai en train. Il n’y a pas de petits exemples
8 les grands vassaux, la nécessité et l’habitude du travail en équipes pour cultiver la terre dans ces parages. Tout cela s’expri
9 le-ci : centraliser tout ce qui est de l’ordre du travail « indifférencié » ou parcellaire, afin de permettre une plus grande a
10 olontaire, soit forcée. 34. Voir là-dessus les travaux du professeur zurichois Karl Meyer. Le Pacte de 1291 est le dernier d