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n entraîne des « conditions ». C’est la vision du
travail
humain, inexorable et dégoûtant, mais comment échapper ? L’hallucinat
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ère ». Gagner 40 000 francs. Mourir obsédé par ce
travail
. Ainsi cette vie est bien d’un seul tenant ; une seule et unique expé
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évasion. La rage avec laquelle il se rabat sur le
travail
« à mains » — rage de revanche — par son excès même est encore une év
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de montagne, pour lui confier, probablement, des
travaux
relevant de sa science. Mais il ne parviendra jamais à rejoindre Mons
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nant d’un de ces bureaux. On le félicite pour son
travail
, quand il en est à se ronger d’inaction ; ou bien on lui fait espérer
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oir l’affirmer. L. — Soit, c’est une hypothèse de
travail
… Pour moi, je crois que Dieu connaît la fin, la somme, la valeur abso
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né, inutilement abstrait, ferait un bien meilleur
travail
— il faudrait qu’il donnât de fortes peines ! — qu’une cour d’assise
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t le mobile. Je dis qu’il ferait un bien meilleur
travail
éducatif. Car il porterait l’attention des hommes sur le concret de l
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ou de si minimes. Un court essai de Ramuz (sur le
Travail
), débute ainsi : « Pourquoi est-ce qu’on travaille ? Parce qu’on y es
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st parfait, aucun tableau n’est parfait ; et tout
travail
d’abord est dur, tout travail difficile, tout travail, toute espèce d
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t parfait ; et tout travail d’abord est dur, tout
travail
difficile, tout travail, toute espèce de travail se fait d’abord cont
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ail d’abord est dur, tout travail difficile, tout
travail
, toute espèce de travail se fait d’abord contre nous-mêmes et contre
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travail difficile, tout travail, toute espèce de
travail
se fait d’abord contre nous-mêmes et contre Quelqu’un, tout travail e
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abord contre nous-mêmes et contre Quelqu’un, tout
travail
est malédiction), — jusqu’à ce que tout à coup, par une espèce de ren
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re que Claudel pour avoir conduit consciemment ce
travail
d’« autorisation » (Art poétique). Les philosophes y sont contraints