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uestions de salaires, de contrats et d’hygiène de
travail
. Pour le reste, l’ouvrier américain partage la conception de la vie d
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et je dis à peu près pour dire comme lui. Car son
travail
consiste, nous explique-t-il, à maintenir les agences de l’État dans
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ins, des démocrates, des démocrates du Sud, et du
Travail
, représenté par les trois chefs des syndicats les plus puissants ; il
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n a chargé une agence nationale de coordonner les
travaux
. Mais son administrateur déclare aujourd’hui que des projets financés
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n businessmen, cinéastes et acteurs en experts du
travail
ou du commerce. Tout cela change l’air des bureaux, et l’esprit d’une
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ur la prohibition, de la lutte pour les droits du
travail
, du pacifisme militant, bref de toutes les grandes causes publiques e
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d un culte sentimental : comme si la « poésie des
travaux
ménagers » ne correspondait pas, en fait, au labeur harcelant, physiq
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es mains oisives. La mère américaine, libérée des
travaux
qui la maintiennent ailleurs dans les limites de l’activité domestiqu
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tre à une agence d’État, qui généralement fait le
travail
à la satisfaction du plus grand nombre, puis se dissout. C’est ainsi
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l’administration de ces agences. Peu importe : le
travail
était fait. En France, les partis s’arrangent en général pour rendre
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tion en masse et sans y regarder de trop près, du
travail
par équipes pour battre un record, du gaspillage, des chants et des b
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ue à votre secours, quitte à la mépriser sitôt le
travail
fait. Sachez que les Américains ont beaucoup mieux à nous donner que