1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 uestions de salaires, de contrats et d’hygiène de travail . Pour le reste, l’ouvrier américain partage la conception de la vie d
2 et je dis à peu près pour dire comme lui. Car son travail consiste, nous explique-t-il, à maintenir les agences de l’État dans
3 ins, des démocrates, des démocrates du Sud, et du Travail , représenté par les trois chefs des syndicats les plus puissants ; il
4 n a chargé une agence nationale de coordonner les travaux . Mais son administrateur déclare aujourd’hui que des projets financés
5 n businessmen, cinéastes et acteurs en experts du travail ou du commerce. Tout cela change l’air des bureaux, et l’esprit d’une
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 ur la prohibition, de la lutte pour les droits du travail , du pacifisme militant, bref de toutes les grandes causes publiques e
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 d un culte sentimental : comme si la « poésie des travaux ménagers » ne correspondait pas, en fait, au labeur harcelant, physiq
8 es mains oisives. La mère américaine, libérée des travaux qui la maintiennent ailleurs dans les limites de l’activité domestiqu
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 tre à une agence d’État, qui généralement fait le travail à la satisfaction du plus grand nombre, puis se dissout. C’est ainsi
10 l’administration de ces agences. Peu importe : le travail était fait. En France, les partis s’arrangent en général pour rendre
11 tion en masse et sans y regarder de trop près, du travail par équipes pour battre un record, du gaspillage, des chants et des b
12 ue à votre secours, quitte à la mépriser sitôt le travail fait. Sachez que les Américains ont beaucoup mieux à nous donner que