1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 itulerais volontiers ainsi, pour ma part, le beau travail de M. Denis de Rougemont. Que de choses, et précieuses à savoir, il a
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 artimenté contraignait les paysans du centre à un travail d’équipes, à l’entraide mutuelle. La mission politique qui leur fut c
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 attachent au parti socialiste. Enfin, le parti du travail (communiste) dissous par le gouvernement en 1940, a été autorisé à se
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
4 ter, c’était la matière première importée plus du travail . Et telle est, de nos jours encore, la principale source de richesse
5 atteint par la machine seule. Mais la qualité du travail , si elle pouvait assurer la supériorité de la production suisse dans
6 leux de la belle ouvrage, à la conscience dans le travail et à la précision héréditaire du coup de main, les Suisses se virent
7 de. À cette stratégie efficace, à ces qualités de travail et d’invention, compensant des conditions de départ particulièrement
8 principaux : secours aux chômeurs, protection du travail , politique sociale. On pourrait en somme les comparer à des coopérati
9 ur l’amélioration des salaires et des contrats de travail constitue, aux yeux de la bourgeoisie, leur raison d’être principale,
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
10 rofession. Elles revendiquent « un salaire égal à travail égal ». Seules les avocates et doctoresses l’obtiennent, mais non les
11 formation intellectuelle ou la discipline dans le travail , sous prétexte de favoriser un « développement harmonieux des faculté
12 rythmique de Jaques-Dalcroze, la gymnastique, les travaux manuels, tiennent beaucoup plus de place dans les programmes suisses
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
13 Société des Nations et du Bureau international du travail . Ainsi, de même que les cantons catholiques avaient mérité du pape Ju