1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 ces cinq versions. Je tiens compte également des travaux critiques plus récents de MM. E. Muret et E. Vinaver. 8. Vers 1412-
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 certaines convergences générales se dégagent des travaux récents, renforçant l’hypothèse d’une communauté originelle des croya
3 gnificatif pour nous de remarquer à la suite d’un travail récent25 que la structure de la foi manichéenne « est essentiellement
4 e l’état des études arabisantes à son époque. Des travaux plus récents ont décrit en détail l’histoire et l’œuvre, dès le ixe
5 ication et au supplice de al-Hallaj. 69. Cf. les travaux d’un auteur américain. A. R. Nykl, sa traduction du Collier de la col
6 des Hochmittelalterlichen Weltbildes um 1200. Ce travail infiniment méticuleux (aux répétitions épuisantes) d’un savant philol
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
7 IVe partie : l’Expression de l’amour divin. 129. Travaux de Max Nordau, Krafft-Ebing, Murisier, Leuba, Freud, pour s’en tenir
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
8 ’Église catholique et ses masses populaires ; les travaux tout récents de C. G. Jung et de son école sur la Sophia, Sagesse et
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
9 es. (Voir Appendice 4.) 225. « L’idée antique du travail indigne de l’homme libre se retrouve dans la chevalerie », écrit Henr