1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 nt marqués au fer rouge, et rivés au lieu de leur travail . 26. À partir de Marc-Aurèle, 175 jours fériés par an, passés au Cir
2 e toute espèce qui fournissent la main-d’œuvre du travail forcé, forme la masse des intouchables. Les avoir connus, leur parler
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
3 l’Amérique, de nos jours, USA signifie dollar et travail parcellaire à la chaîne. C’est l’un des aspects de l’aventure ; et vo
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
4 et non des moindres, ayant été conduits par leurs travaux bien au-delà de la superstition matérialiste, constatent que les fron
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
5 out une autre visée que celle qui orientait leurs travaux . Nous savons aujourd’hui que le rêve des alchimistes n’était pas de f
6 technique devait contribuer à libérer l’homme du travail , c’est-à-dire de la peine requise par les besoins de sa subsistance ;
7 rer pour d’autres tâches, non pas à augmenter son travail et sa peine, à seule fin d’augmenter ses besoins naturels et de leur
8 et scandinaves ont chez eux les produits de leur travail  : autos, radios, frigidaires et conserves ; et le cinéma au coin de l
9 chnique en soi. Erreur sur la standardisation du travail . On nous répète à droite autant qu’à gauche que le travail à la chaîn
10 On nous répète à droite autant qu’à gauche que le travail à la chaîne déshumanise, et que nous vivons dans le monde sans âme de
11 gide). Ce ne sont pas nos protestations contre le travail à la chaîne qui libéreront le prolétariat, mais le remplacement des t
12 s jeux, c’est-à-dire pour des formes nouvelles de travail et de création ? La tâche présente me paraît donc bien moins de mettr
13 un sens très net : de 1890 à 1954, la semaine de travail dans le textile a passé de 65 heures à 40 heures, et l’année de trava
14 e a passé de 65 heures à 40 heures, et l’année de travail pour les cheminots de 3900 heures à 2000 heures, tandis que la produc
15 ortement accrue) de la planète, donne 4 heures de travail par semaine, pour que tous nos besoins « matériels » soient satisfait
16 ons polaires, offrira de nouvelles « occasions de travail  »82 ; et qu’enfin la guerre atomique peut tout compromettre dans l’œu
17 s été, mais cela se verra.) Jusqu’ici, c’était le travail qui occupait l’essentiel de nos jours, et dont dépendait notre sort :
18 82. Il y a plus. Selon J. Fourastié, la somme de travail « tertiaire » indispensable au rendement, comme à la répartition des
19 un progrès culturel (qu’il soit appelé loisir ou travail ). 83. L’Encyclopédie de 1765 définit le loisir comme « le temps vui
20 omme « le temps vuide. » Elle suppose donc que le travail est le vrai temps, le temps plein. Cette hiérarchie des valeurs a dom
21 ment sous la forme d’une diminution des heures de travail , mais sous la forme d’une diminution du prix de la vie, compensant au
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
22 mpagne électorale, et d’une manière générale, les travaux les plus abstrus et théoriques des laboratoires de recherches nucléai
23 llait-il empêcher Einstein de faire connaître ses travaux , ou de les poursuivre ? Mais au nom de quel pouvoir de prévision, sup
24 cerveau si notoirement humanitaire ? Une fois ces travaux faits et publiés, qui pouvait empêcher l’Occident menacé d’en tirer d
25 riérés restant l’URSS après plus de trente ans de travail forcé. Si enfin le but est l’accroissement des règlements d’État, du
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
26 rotéger les ouvriers contre les excès alternés du travail inhumain et du chômage. D’où enfin l’idée radicale, mais conforme au