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inement désigne aussi la « marche progressive des
travaux
offensifs d’un siège », et cheminer, c’est aussi « s’avancer vers une
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rtillerie et du génie qui poussent en avant leurs
travaux
». Et voilà qui décrit l’action que l’on doit attendre de plusieurs d
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l’Europe. On put croire un moment que tout notre
travail
allait être effacé pour toujours. C’était compter sans les mouvements
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ts pour l’union de l’Europe dressait les plans de
travail
pour La Haye. Il groupait les quatre organisations suivantes : Union
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d’un Centre européen de la culture et de nombreux
travaux
économiques. Au début de novembre 1948, l’Union européenne des fédéra
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ne de nos commissions siégeait dans le cabinet de
travail
du dictateur, et les séances plénières eurent lieu dans la salle même
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uvement européen, appuyé par la propagande ou les
travaux
spécialisés des six mouvements qui le composent, va se porter au cour
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sanne, le sens profond qui doit se dégager de ses
travaux
. Elle doit montrer que nos forces culturelles peuvent contribuer à l’
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d’émigrer hors d’Europe, et souvent d’accepter un
travail
de manœuvre ou d’ouvrier agricole. Ils sont ainsi perdus à la fois po
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des personnes, des œuvres, et des instruments de
travail
dans toute l’étendue de l’Europe. Toutes nos cultures sont nées d’un
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ité. Il faut doter l’Europe unie d’instruments de
travail
à l’échelle continentale.il faut aussi former les jeunes hommes qui d
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a création d’un Centre européen de la culture. Le
travail
du Bureau d’études de Genève, depuis quelques mois, a permis de serre
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la plus féconde paraît être celle des groupes de
travail
restreints, réunissant pendant quelques jours sous le même toit des h
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lications propres du Centre — Revues — Groupes de
travail
et Congrès professionnels. III. Relations de la culture avec les inst
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a créé une série d’associations et communautés de
travail
qui fonctionnent dès maintenant sur un plan supranational, comme si d
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endent à devenir une rhétorique superficielle. Un
travail
de recherches en profondeur s’impose. On voit donc apparaître, dès 19
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e politique fédérale, qui ont fait l’objet de nos
travaux
depuis vingt ans. Le problème des régions, à lui seul, peut suffire à
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de la bourgeoisie (« Donnez-leur la sécurité, du
travail
et un logement, ils se tiendront tranquilles ») se réduit à quelques
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e synthétique et le radar ; la rationalisation du
travail
industriel, le syndicalisme et les coopératives ; la construction mét
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ir sur ce plateau, au lieu d’être à nos tables de
travail
, comme nous l’eussions tous préféré, c’est sans la moindre forfanteri
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n de toute existence communautaire et de tout bon
travail
en commun, l’on sera conduit à préférer la multiplication de petites
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le ? Déjà l’on nous fait entrevoir — je pense aux
travaux
du professeur Fourastié, notamment — que les applications de l’énergi
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mettront, vers la fin de ce siècle, de réduire le
travail
des ouvriers à quelques dizaines d’heures par an, pour une production
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e libération de l’homme. Mais cet homme libéré du
travail
, que va-t-il faire de ses loisirs, qui deviendront l’essentiel de sa
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ais transformatrice du réel. Ajoutez-y le goût du
travail
, vertu ou vice des populations nordiques, d’ailleurs approuvé par les
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ompte, c’est le loisir ! La réduction du temps de
travail
moyen à l’usine ou au bureau, obtenue depuis trois quarts de siècle,
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tre humanité occidentale partiellement libérée du
travail
mécanique, pourvue de loisirs tout nouveaux, et privée du même coup d
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inventer — à créer ou à se créer : voilà le vrai
travail
humain. Mais il est clair que si le temps libre est augmenté, la cons
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que la technique permet de gagner sur le temps de
travail
mécanique et routinier sera gagné pour la culture, ou pourra l’être.
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ièrement, commercialement, plus importants que le
travail
routinier. Il en résultera que la culture deviendra le sérieux de la
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ans payer leurs frais d’investissement humain, le
travail
de nos masses ouvrières, de nos savants et de nos ingénieurs, le sens
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ation (grâce à l’intervention d’Einstein puis aux
travaux
de Fermi et à l’action d’Oppenheimer) qui a mis fin à cette guerre, p
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a pas de « musique moderne » Introduction aux
travaux
de la Conférence européenne de compositeurs et musicologues, organisé
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et porter sur des problèmes vivants. 2. Entre les
travaux
indispensables des spécialistes d’une part, et d’autre part les respo
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lomates, des chargés de mission d’une région, les
travaux
des savants sont de peu de secours : le temps manque pour les étudier
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t chaque région ; — placer les résultats de leurs
travaux
à la disposition des responsables de l’éducation, de la politique et
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ales contraignantes) les courants d’échanges, les
travaux
en commun à travers l’Europe, en négligeant les frontières et sans de
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ter d’institutions qui viendraient couronner leur
travail
constructif. Le moment révolutionnaire interviendra quand il faudra s