1 et à quoi l’on subordonne tout, plaisir, goût du travail , qualité du travail, santé, liberté, sens de la justice et autres bal

2 rdonne tout, plaisir, goût du travail, qualité du travail , santé, liberté, sens de la justice et autres balivernes, instruction

3 qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâcher leur travail . Or ce travail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle,

4 nt. Ils sont forcés de gâcher leur travail. Or ce travail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle, il est absurde.

5 jour durant 8 ans. Il paraît que cela facilite le travail du maître. Il se peut. Tout dépend de ce qu’on attend de ce travail.

6 Il se peut. Tout dépend de ce qu’on attend de ce travail . Je doute qu’il soit de nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’

7 On n’a pas attendu ma colère pour entreprendre ce travail de démolition. Il suffit pour s’en convaincre de parcourir l’abondant

8 er plus de liberté aux enfants en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la possibilité de trouver par eux-mêmes ce

9 riorités naturelles, l’habitude de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à lire pour lire les journaux, mais en même temps

10 paré le monde moderne à un vaste établissement de travaux forcés. L’école donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’é

11 supporte, on économiserait plusieurs semestres de travail . Si chaque matin l’enfant parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vou

12 police, la lutte quotidienne pour survivre et le travail productif. Santé, instruction, dignité humaine, indépendance, effort

13 près-midi (à l’exemple de l’école chinoise) à des travaux pratiques aux champs, en ville ou à l’usine. La vieille histoire de l