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r ses productions. La Communauté poursuit un long
travail
d’harmonisation des spécifications techniques des produits, qui étaie
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entation, de leur habitat, de leurs conditions de
travail
, des possibilités d’éducation et d’hygiène qui leur sont offertes, ai
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yant, et beaucoup moins sûr ; — les conditions de
travail
ont empiré dans un grand nombre d’industries : accidents, contaminati
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: accidents, contaminations, cadences accélérées,
travail
posté insupportable… ; — l’allongement des trajets entre logis et lie
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l’allongement des trajets entre logis et lieu de
travail
diminue le temps des loisirs (l’expression française « métro-boulot-d
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collectives du monde moderne. Hors des heures de
travail
(le plus souvent ennuyeux) et des heures de déplacement (le plus souv
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urs de l’Énergie où le capital compte plus que le
travail
; en partie au transfert (par les multinationales) de nos technologie
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ellement la distribution des revenus en faveur du
travail
et a renforcé la demande d’équipements collectifs. De ces pressions a
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n existence se déroule : son habitat, son lieu de
travail
, les moyens de transport et les services collectifs qu’il utilise, le
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pourraient être accomplies par 15 % des forces de
travail
aujourd’hui disponibles. Cette transformation difficile n’est pas imp
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ment), ni de rechercher la dilution des forces de
travail
par l’introduction de postes non nécessaires et de productivité infér
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s directions suivantes : — raccourcir le temps de
travail
; — allonger (réellement, c’est-à-dire déduction faite du temps de dé
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aduisent un même souci d’ordonner l’économie — le
travail
des hommes et les moyens de subsistance qu’ils en tirent — au bien-êt
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ense nationale » à la paix, l’énergie aux buts du
travail
qu’elle est censée servir ; et les mythes nationalistes aux réalités
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ion et d’emploi stabilisé. Raccourcir le temps de
travail
. Produire mieux avec moins de gaspillage et une répartition plus flui