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lus grande partie de sa vie. Docteur en droit, il
travailla
d’abord au service d’une compagnie d’assurances générales, puis d’une
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ns et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y
travailler
. Nous faisons l’inventaire minutieux et le plan d’arrangement actuel
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s pour une population de 2300 habitants. Ceux qui
travaillent
encore gagnent à peine de quoi se nourrir. Et j’entrevois déjà ce qu’
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diquement par la faillite des entreprises où elle
travaille
, ou par quelque décret d’État. Je vois le chômage s’étendre et s’inst
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endre sa fille qui va rentrer des champs, où elle
travaille
jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dans une cuisine de ferme mais la
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e sont elles qui gagnent ce qu’il faut, elles qui
travaillent
, elles qui décident, elles qui lisent, elles qui vont à l’église ou a
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urs et inefficaces. La plupart ne font rien, ou «
travaillent
le mazet », ce qui n’est rien. Les femmes vont à la filature — la der
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un adjoint de la mairie, quelques retraités qui «
travaillent
le mazet » dans nos parages, un ou deux cultivateurs, les trois insti
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arxistes que moi. Ils veulent avant tout vivre et
travailler
raisonnablement. Mais rien ne se présente pour les soutenir. Ils vont
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hons-là » et dans la crainte de la vieillesse. On
travaille
pour ne rien gagner, à cause de la mévente croissante, on vit sur le
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explique encore que les gens s’en vont d’ici pour
travailler
à la ville. C’est comme partout. Bon. Alors les catholiques descenden
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vrai chômeur, puisque vous avez la possibilité de
travailler
. — Je me suis fait moi-même cette objection. Il est clair qu’un intel
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u’un intellectuel aura toujours la possibilité de
travailler
, pour autant que son vrai travail est de penser. Mais je l’appelle ch
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uotidien lamentable, hérissé de clichés hargneux,
travaille
pour le bien de ses lecteurs ? Si l’on prend au sérieux le sort qui e
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bsister après l’épuisement de notre réserve. J’ai
travaillé
beaucoup, mais je ne serai pas payé avant un mois. Or, un mois, ou mê
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es dont se réclame Érasme n’y changeront rien : «
Travaillez
à votre salut avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui pro
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existence solitaire, jusqu’à sa mort, en 1835. Il
travaillait
une grande partie de la nuit. Georg Brandes raconte qu’on pouvait le