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és, aux quatre coins de la Suisse, qui voudraient
travailler
pour leur pays, qui sont pleins de projets et d’espoirs, qui ont cru
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et, derrière tout cela, l’armée qui guette et qui
travaille
encore dans les forêts, dans les ravins et dans les champs neigeux ;
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ière l’armée, un peuple entier qui guette, et qui
travaille
lui aussi jour et nuit, dans les bureaux et les usines — pour que rie
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, d’en revêtir la charge, d’en être les porteurs.
Travaillons
tout d’abord à la défendre, c’est-à-dire à la faire connaître autour
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e les améliorer, si nous les jugeons maladroites.
Travaillons
aussi, c’est le deuxième point, à illustrer notre fédéralisme, c’est-
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out ce que vous voudrez, pourvu qu’on nous laisse
travailler
. Qu’est-ce que cela change ? J’ai semé et taillé comme chaque année.
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i gouvernent ? — Ils ne peuvent pas m’empêcher de
travailler
! J’ai tout semé comme les autres années… Monsieur Turc promène un re
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Ceux qui l’auront compris, et qui le prouveront,
travailleront
au salut du pays. Mais ceux qui s’obstineraient à accuser « les autre
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utres » de tout le mal qui se fait dans le monde,
travailleraient
au contraire à notre perte à tous. Ces remarques sont simples et util
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giquement représenter la Suisse d’aujourd’hui. Et
travailler
au bien de la Suisse. Le comité directeur de la Ligue est formé de di
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cats par leurs éléments les plus vivants, et nous
travaillons
à la réconciliation des syndicats et des corporations, pour préparer