1 ortant sur ces trente dernières années. Enfin, je travaille toujours à l’ouvrage que je considère comme la clef de voûte de mon œ

2 r, Nicolas Berdiaev, Roberte Aron, etc. Ce groupe travaillait sur l’idée de « personne » et nous sommes devenus les « personnaliste

3 nève. La plupart de ceux qui vivent côté français travaillent en Suisse, ce qui fait que l’on peut passer quotidiennement huit fois

4 livre sur la Suisse, The Heart of Europe , j’ai travaillé à l’Office of War Information, section « La voix de l’Amérique parle

5 anger s’éloignera probablement. Mais il nous faut travailler vite, il nous faut créer vite cette Europe en tant que facteur de pai

6 mien. Les mouvements européens avec lesquels j’ai travaillé dans les années 1950 et 1960 font du surplace, c’est évident. Mais de

7 e ainsi que « les hommes et les gouvernements qui travaillent à cette œuvre de salut public, suprême chance de la paix et gage d’un

8 chine peut éprouver des émotions, il répond qu’il travaille au MIT à réaliser « un inconscient artificiel ». Ce qui ne l’empêche

9 èterie, a s’pose là ! Il y a quinze jours que j’y travaille … » Au restaurant « Le Catalan », peu après la libération de Paris, Lé

10 nes si différentes, choisi Genève pour y vivre et travailler , plutôt que Paris et les États-Unis, qui avaient de quoi nous tenter

11 ut de suite après avoir achevé le livre auquel je travaille en ce moment, intitulé Journal d’un Européen, qui est la conclusion d

12 s on préféra alors l’envoyer aux États-Unis où il travailla pour « La Voix de l’Amérique » en 1942 et 1943, enseigna à l’École li