1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 e. Ainsi il n’est plus seulement dit : “Celui qui travaille doit être honoré” mais il est encore dit : “Chacun doit travailler po
2 tre honoré” mais il est encore dit : “Chacun doit travailler pour être honoré en ce monde et être sauvé dans l’autre” » (page 137)
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
3 misère, l’envie et l’ignorance : une angoisse les travaillait , incarnée et mise en formules par les théoriciens de la Révolution. E
4 le spleen et le cynisme : une autre angoisse les travaillait . « Je veux un corps ! », gémissait Kierkegaard. Et nous voici au seui
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
5 mauvaise humeur, c’est qu’ils savent pourquoi ils travaillent et que nous l’ignorons généralement ; c’est qu’ils acceptent les buts
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
6 ès coup, la multitude des mains sans cerveaux qui travaillent sans fin par le monde, peinant peut-être en pure perte, si ce n’est p
7 onne mal si elle n’engage pas la main. Cette main travaille en vain si la raison ne s’engage pas dans son travail. La main n’est
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 la pesée à la résistance, la pensée à la main qui travaille . Dans cet acte, pensée et objet témoignent de leur existence concrète
9 ’absence », dit un poète. Mais « les autres » ont travaillé pendant ce temps ! Et s’ils ne menaçaient pas d’étendre à toute l’Eur
10 mais comme il arrive toujours quand la monnaie ne travaille plus, elle les dévalorise, et les grands mots dont elle abuse perdent
11 ion des racines, — l’imagination créatrice, elle, travaille toujours dans le donné, mais contre lui : elle rapporte les mots à le