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e. Ainsi il n’est plus seulement dit : “Celui qui
travaille
doit être honoré” mais il est encore dit : “Chacun doit travailler po
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tre honoré” mais il est encore dit : “Chacun doit
travailler
pour être honoré en ce monde et être sauvé dans l’autre” » (page 137)
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misère, l’envie et l’ignorance : une angoisse les
travaillait
, incarnée et mise en formules par les théoriciens de la Révolution. E
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le spleen et le cynisme : une autre angoisse les
travaillait
. « Je veux un corps ! », gémissait Kierkegaard. Et nous voici au seui
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mauvaise humeur, c’est qu’ils savent pourquoi ils
travaillent
et que nous l’ignorons généralement ; c’est qu’ils acceptent les buts
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ès coup, la multitude des mains sans cerveaux qui
travaillent
sans fin par le monde, peinant peut-être en pure perte, si ce n’est p
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onne mal si elle n’engage pas la main. Cette main
travaille
en vain si la raison ne s’engage pas dans son travail. La main n’est
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la pesée à la résistance, la pensée à la main qui
travaille
. Dans cet acte, pensée et objet témoignent de leur existence concrète
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bsence », dit un poète86. Mais « les autres » ont
travaillé
pendant ce temps ! S’ils ne menaçaient pas d’étendre à toute l’Europe
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mais comme il arrive toujours quand la monnaie ne
travaille
plus, elle les dévalorise, et les grands mots dont elle abuse perdent
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ion des racines, — l’imagination créatrice, elle,
travaille
toujours dans le donné, mais contre lui : elle rapporte les mots à le