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ns qu’eux, probablement… À ce moment, comme nous
traversions
une rue sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de p
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stabilité rythmique. (Trop souvent ce que je vois
traverse
ce que j’entends.) La plaine hongroise n’est pas monotone, parce qu’e
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ne et toutes lustrées de rêches végétations. J’ai
traversé
l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais pe
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pellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut
traverser
avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pas encore »
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nt m’occupe, comme les remous dans l’eau. Un char
traverse
lentement. Une belle auto derrière s’impatiente, tandis que les collé
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ille, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je
traverse
l’odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici sous une voûte
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sition de l’élément minable des populations qu’il
traverse
. À chaque station nous débarquons un peu moins de paysans et de panie
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matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine
traverse
les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ralenti, dans la fraîc
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nvisible, dans cette minuscule voiture. Déjà nous
traversons
la nuit rose et violette de Montparnasse. Là, l’insondable lubie d’un