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e-huit kilomètres de l’île dans sa longueur. Nous
traversons
de longs villages blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauv
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u-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois
traversé
par un nuage rapide. En me retournant à droite, je vois par une autre
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la réprobation sournoise d’une épicière. Ennui de
traverser
le village, quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté
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me semble que je vais découvrir un pays cent fois
traversé
que je n’avais jamais su voir : la province et la vie quotidienne, un
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ait une sorte d’insulte à la vie locale : elle la
traversait
abstraitement, sans la voir, sans tenir compte de ses circonstances.
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nt peur. C’est toujours la question de la place à
traverser
. — ? — Oui, vous savez que nos temples du Midi sont construits en gén
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ui se dérobent… Un ouvrier au pantalon trop court
traverse
sans assurance l’avenue où cinglent violemment de belles autos. Un lo
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e. Je longe l’avenue bordée de marronniers qui la
traverse
. À droite et à gauche, des ruelles s’en vont dans le désordre des bar
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nous de les décourager ! 21 juillet 1935 Je
traversais
hier soir le quartier de Passy, en proie aux tourments bienheureux d’