1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
1 s de l’artisanat qui se refuse aux truquages, aux trompe-l’œil , ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intransigeant du
2 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
2 st pas ! C’est une espèce de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de l’art inauthentique. L
3 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
3 st pas ! C’est une espèce de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de l’art inauthentique. L
4 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
4 st pas ! C’est une espèce de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de l’art inauthentique. L
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
5 st pas ! C’est une espèce de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de l’art inauthentique. L
6 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
6 st pas ! C’est une espèce de décréation. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux-de l’invention bâtarde et de l’art inauthentique. »