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ur le capturer, les indigènes scient à moitié les
troncs
, et lorsque l’élan s’appuie, l’arbre cède et la bête se trouve sans d
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i longtemps le reflet rouge de ses yeux parmi les
troncs
qui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyai
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e et le visage blanc de la femme debout contre le
tronc
. (Pour moi je demeure dans l’ombre.) Quand la Lune s’en va, il y a ce
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ose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au
tronc
d’un pin. Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du pays sou