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tes remarquablement identiques) entre cathares et
troubadours
. Je me risquais à dire : il y a là quelque chose, et l’absence de rap
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, de l’abbaye de Fontevrault si proche du premier
troubadour
— c’est le comte Guillaume de Poitiers — jusqu’au Paraclet d’Héloïse.
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d’amors, ses « rites » précis, la rhétorique des
troubadours
, sa morale de l’hommage et du service, sa « théologie » et ses disput
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t ses disputes théologiques, ses « initiés », les
troubadours
, et ses « croyants », le grand public cultivé ou non, qui écoute les
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», le grand public cultivé ou non, qui écoute les
troubadours
et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or nous voyons cett
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bru ou d’un Rambaut d’Orange. Chose curieuse, les
troubadours
chez lesquels nous constatons cette contradiction, ne s’en plaignent
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riage était condamné par leur Église. Beaucoup de
troubadours
— cela n’est pas douteux — étaient cathares ou, du moins, très au cou
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erfection à la perfection », c’est-à-dire par les
troubadours
et par les croyants inquiets à la morale des Parfaits. Mais enfin, di
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, citons maintenant quelques chansons de « légers
troubadours
méridionaux », grands seigneurs amateurs ou jongleurs besogneux, que
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à celui qui observe ses lois, dit le premier des
troubadours
connus, Guillaume, sixième comte de Poitiers et neuvième duc d’Aquita
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nte dame du monde. (Arnaut Daniel.) (De même, le
troubadour
arabe Ibn Dawoud disait : « La soumission à l’aimée est la marque nat
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es de la première et de la seconde génération des
troubadours
(1120 à 1180 environ). Au xiiie siècle, ceux de la dernière générati
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monde. Celui que l’on nomme parfois le dernier
troubadour
, Guiraut Riquier, donnera de ces vers le commentaire suivant : Les c
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e tu seras mon guide. Enfin, contre certains des
troubadours
qui sans doute abusaient trop souvent des ambiguïtés ménagées par le
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s à écrire en mettant les points sur les i : Ces
troubadours
, en mêlant la vérité au mensonge, corrompent les amants, les femmes e
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anter ce que l’on pourrait encore tenir, chez les
troubadours
du Midi, pour une pure fantasmagorie sentimentale. 6. Excuse aux h
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exuels pour la plupart, comme le furent plusieurs
troubadours
. Il s’exprime dans des termes qui seront repris par presque tous les
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itre VII de ce livre, à savoir que les poèmes des
troubadours
pouvaient être — selon Rahn, Aroux et Péladan — une sorte de langage
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rs assimilent pour leur part à la Grâce, chez les
troubadours
… 27. Les cathares condamnaient la guerre et toute forme d’homicide,