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bilité d’un lien quelconque entre la cortezia des
troubadours
et le catharisme — en dépit de la coïncidence des lieux, des dates, d
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ans les romans anglo-normands et les chansons des
troubadours
comme dans le cœur d’Héloïse et l’esprit d’Abélard, s’adresse à l’ang
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ièce maîtresse du jeu d’échecs, et que le premier
troubadour
ose écrire de la dame de ses pensées : « Par elle seule je serai sauv
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Rousseau s’inspire de l’Astrée, de Pétrarque, des
troubadours
et d’Abélard, et rend au sentiment la primauté, mais il est Suisse et