1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 nos littératures depuis des siècles — depuis les troubadours — et grâce à la littérature, elle obsède nos rêves, elle met un « tou
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 nd à la Dame des pensées, comme à la cortezia des troubadours la mystique de l’amour divin d’un saint Bernard, et comme à l’histoir
3 iècle : le Roman de Tristan et Iseut. Du Midi des troubadours , inventeurs de notre lyrisme, au Nord des Trouvères, inventeurs du ro
4 ècle, où la passion « naquit » avec la poésie des troubadours , voit un premier retour de l’individualisme dans l’Occident christian
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
5 né, tel qu’il fut inventé au xiie siècle par les troubadours du Languedoc et romancé par les Bretons. C’était faire trop d’honneur
6 la distance nécessaire à « l’amour de loin » des troubadours . Mais quel est ce désir ? Est-il désir de l’autre, ou seulement Désir
4 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
7 re douleur ou joie. Le sentiment qu’expriment les troubadours est typiquement adolescent, et comme indépendant du sexe. S’il réussi
5 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
8 ce qui peut nous rapprocher, l’amour-passion, les troubadours , la psychanalyse, Saint-John Perse, mais aussi de ce qui semblerait d