1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Naissance de l’érotisme occidental
1 s romans (qui prennent leur nom de la Romania des troubadours ), l’érotisme n’accède au niveau de la conscience occidentale qu’au dé
2 es, qui redécouvrent en même temps le lyrisme des troubadours , et plusieurs dimensions du fait religieux. Kierkegaard, Baudelaire e
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Soulèvement des puissances animiques
3 jamais par le sentiment. Et subitement voici les troubadours et l’invention du désir sublimé, saint Bernard de Clairvaux et la mys
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
4 né, tel qu’il fut inventé au xiie siècle par les troubadours du Languedoc et romancé par les Bretons. C’était faire trop d’honneur
5 la distance nécessaire à « l’amour de loin » des troubadours . Mais quel est ce désir ? Est-il désir de l’autre, ou seulement Désir
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
6 re douleur ou joie. Le sentiment qu’expriment les troubadours est typiquement adolescent, et comme indépendant du sexe. S’il réussi
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
7 our « tourne à réalité » (comme s’exprimaient les troubadours ) il saura bien en susciter de plus secrets. Dans l’œuvre écrite, la v
8 e je suis un obsédé, me dit-il en riant, mais vos troubadours , je ne puis m’empêcher de penser qu’ils devaient être homosexuels pou
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
9 trique (union sexuelle sacrée) et la cortezia des troubadours correspondent à ce second sens. Les épreuves que le tantrisme fait su
10 et tourné vers l’essence divine. La cortezia des troubadours décrit à mots couverts (mais bien assez précis, pour qui sait lire) c
11 Charles Camproux, La Joie civilisatrice chez les troubadours (La Table ronde, janvier 1956) et La Joie d’amour et l’Occident (Les