1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
1 péché où Dieu le cherche et où la grâce vient le trouver , — presque toujours par d’autres voies que celles qu’il nous plaisait
2 peut grouper sous le vocable “personnalistes”. On trouve là un des plus authentiques essais de construction de notre temps. P
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
3 ïncidences un signal amical du destin ? Vous vous trouviez couronner sans le savoir deux livres à la fois, le Journal et l’ Am
4 ranger une humeur belliqueuse qui, Dieu merci, ne trouvait pas à s’exercer dans nos cantons paisibles. Pourquoi n’y aurait-il pa
5 tradition — celle d’un Constant — que je me suis trouvé rangé, un peu par la force des choses, par atavisme autant que par go
3 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
6 ès facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. Voilà le principal de ce que je sais s
7 la retrace le comment cela s’est fait. Il reste à trouver le pourquoi. Là-dessus, les réponses varient, mais chacune d’elles es
4 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
8 ès facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé , dans cent occasions analogues. Voilà le principal de ce que je sais
5 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
9 s la littérature, à l’amour et la guerre, ont été trouvés en cours de route. Mais les hypothèses historiques que j’y développe
10 i cherché ce qui lui ressemblait le plus, et j’ai trouvé que c’était la poésie des troubadours. Quant à savoir d’où vient cett
11 u faire œuvre d’historien. Même si les historiens trouvent que j’ai tort sur un point particulier, précise-t-il, cela m’est indi
6 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
12 le grand sujet. La pièce fut écrite, le musicien trouvé — Honegger, le puissant auteur du Roi David et d’Antigone — et dès le
13 magnifique effort d’art et de patriotisme devait trouver son couronnement lors des deux journées neuchâteloises de l’Expositio
7 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
14 ’avais pas de sujet, et je défiais quiconque d’en trouver un, en Suisse, qui fût de taille à occuper l’énorme scène dont j’avai
8 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
15 e contemporains à se tourner vers le passé pour y trouver le réconfort d’anciennes victoires, d’exemples édifiants. Déconcertés
16 race, ni des traditions, ni du rang social : on y trouve des esclaves et des citoyens riches. Leur lien n’est pas terrestre :
17 y reçoivent une assistance matérielle, mais ils y trouvent aussi des possibilités de servir leurs frères. Ils se voient donc lib
18 n des pouvoirs politiques et spirituels, nous les trouvons chez un Charles-Quint, chez un Philippe II d’Espagne, et en France da
19 ns qui respectent l’Église et la personne. Nous y trouvons des formes de gouvernement aussi disparates que possible : d’abord le
9 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
20 oncertées, nécessite et provoque une réaction qui trouverait sur la scène son lieu privilégié ? Serait-ce enfin dans le fédéralism
21 elles les plus marquantes de notre histoire, l’on trouve au premier rang la figure populaire de Nicolas de Flue. Sujet digne d
22  ! Certes, la guerre étant intervenue, tout s’est trouvé suspendu à la veille des représentations de Zurich. Il est donc encor
10 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
23 s conscients de sa mission historique et actuelle trouvent les moyens d’exprimer cette mission, et surtout de la réaliser. La D
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
24 ne cherchions pas ensemble, et surtout si nous ne trouvions pas, par-dessous les grandes phrases habituelles, certaines réalités
12 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
25 ère, vous allez le voir. Voici ce que je viens de trouver dans un livre interdit (mais je ne pense pas que ce soit à cause de c
26 s mon désespoir, j’eus recours à l’Évangile qu’on trouve sur toutes les tables de nuit de ces hospices. Je le feuilletai et mo
13 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
27 e Roumanie : la plupart vont venir à Paris ou s’y trouvent déjà. Impression soudaine, émouvante, d’une société secrète que rasse
28 la nuit de l’esprit. 24 mai 1939 Avant-hier, nous trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges que V. O. envoyait
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
29 t écrasant pour la conscience européenne : vous y trouverez les plus grands noms de la pensée, qui furent aussi les plus cyniquem
30 urent aussi les plus cyniquement méconnus. Vous y trouverez les témoignages convergents des esprits les plus opposés, unanimes da
31 sible quand il s’agissait du mieux vivre, nous le trouvons parfaitement possible quand il s’agit du mieux mourir ou du mieux tue
32 nte à peu près le prix de deux chars d’assaut. On trouvera de l’argent pour 40 chars, mais si je demande qu’on double un budget
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
33 t des dons personnels. Et nous cherchons, sûrs de trouver dans la mesure où nous sommes sûrs de la nécessité de notre Ligue… Le
16 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
34 es et pleins de secrets émouvants, où chacun peut trouver sa pâture, mais c’est encore, et c’est surtout, pour moi, la meilleur
35 ller, le sentiment de la réalité alémanique. Vous trouverez dans ce récit d’une jeunesse aventureuse et d’un retour vers le pays