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econnais cette situation. Et je l’accepte. Je lui
trouve
une certaine analogie avec la situation du chrétien dans le monde, se
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lus de machines. Mais parmi ces machines, il s’en
trouve
une qui peut causer en peu d’instants la mort certaine de notre civil
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trant dans une communauté chrétienne, l’esclave y
trouve
la dignité morale qui était celle de l’individu selon les Grecs, et l
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ntestable sur les Hindous et les Chinois. Mais où
trouver
dans le monde du xxe siècle une autre civilisation qui soit en état
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hons plutôt les moyens de gagner du temps, et les
trouvons
par la technique. Sur quoi le mandarin visitant nos usines : Quand vo
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rait à tout prix une réponse, et refuserait de la
trouver
lui-même, dès lors qu’il sait qu’il n’en est point de vraiment généra
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ite à quelques interdits élémentaires et que l’on
trouve
dans presque toutes les sociétés constituées. En dépit des traités de
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u premier tiers du xxe siècle, et même si on lui
trouvait
des parallèles en d’autres temps, ses moyens d’expression, eux, sont
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e le Vide : Pourquoi pas rien ? — si la pensée ne
trouve
pas de réponse, elle se rend au vide et s’annule. Ce qui peut la rete
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formes. (Je pressens trop de raccourcis, et qu’on
trouvera
!) Mais je crois bien n’avoir jamais douté de tout cela, qu’en vertu
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siècle. Qu’est-ce qu’on y écrit sur ce sujet ? Je
trouve
plusieurs dizaines d’ouvrages publiés en deux mois, dans toutes nos l
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idah, port de mer. Ils massacrent tout ce qui s’y
trouve
et instituent une nouvelle charge dans l’État, celle du Yévogan (« ce
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nie l’importance des données naturelles : je les
trouve
simplement insuffisantes pour rendre compte du phénomène dans ce qu’i
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the. Or, ce mouvement créateur de l’Europe, je le
trouve
d’abord et déjà dans la légende originelle de l’Enlèvement d’Europe p
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l’oracle de Delphes : Où est Europe ? « Tu ne la
trouveras
pas, répondit la Pythie. Suis plutôt une vache et pousse-la devant to
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géographique. Mais c’est aussi en renonçant à la
trouver
telle qu’elle était dans son souvenir que Cadmus entreprit de la cons
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sud-ouest. Christophe Colomb n’est pas parti pour
trouver
l’Amérique, car il n’y croyait pas et ne pouvait donc la chercher. Il
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et ne pouvait donc la chercher. Il est parti pour
trouver
l’Inde fabuleuse, aux cités pavées d’or, disait-on, et pour en ramene
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intime, lui disait de marcher vers l’inconnu. Il
trouva
le pays que Dieu lui réservait, et ce fut là le terme de son aventure
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nte jours. Mais tous ses calculs étaient faux, il
trouva
les Antilles au lieu de Xipango ; et, finalement, c’est sa foi seule
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ade, ne furent pas résolus par son expédition. Il
trouva
d’autres terres, d’autres îles, comme Ulysse, et qui allaient poser d
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r le nom et la nature de leur objet. Et ce qu’ils
trouvent
pose de nouveaux problèmes, tous imprévus, compromet les anciens équi
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s. Anciens villages et villes d’Europe, vous n’en
trouverez
pas deux dont les plans soient superposables. S’ils se ressemblent, c
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our de la place d’un simple village d’Europe vous
trouvez
l’église et la mairie, souvent l’école et les cafés, et le marché et
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ot ou d’un étalage de marché lui permettraient de
trouver
quelques-uns des secrets (pour nous trop évidents) du dynamisme europ
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ique elles sont pleines chaque dimanche, et on en
trouve
en général quatre ou cinq pour une commune rurale moyenne de 2000 à 3
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Le cycle se referme, nous ramenant à l’Europe. Où
trouver
, dans tout cela, nos successeurs ? Je ne vois que des imitateurs un p
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et la science des religions comparées, dont on ne
trouve
pas une trace avant elle sur Terre. L’Amérique, en tout cela, apporte
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rée du xixe siècle : c’est aussi là qu’elles ont
trouvé
des résistances traditionnelles et coutumières qui les ont obligées l
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moins peut-être par le prétexte scientifique qu’y
trouvaient
les auteurs érotiques, que par le grand malentendu né du mot « refoul