1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ue et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai trop spécifiquement français pour rendre compte d’une réalité qui, ju
2 ous ressuscite. À la naissance du sentiment, nous trouvons invariablement une contradiction interne, une séparation, quelque cho
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
3 aient fui dans les opérettes de Strauss, qu’on ne trouve plus nulle part. Dans les dancings, un peuple de fêtards modérés, Jui
4 ’ombre du théâtre, en retard, un peu ennuyé de me trouver à côté d’une place vide : la jolie femme qu’on attend dans ces circon
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 s regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon salut : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes,
6 ue nous sommes en Hongrie. Et ce n’est pas que je trouve ce raisonnement fin, encore que juste, mais si je me défends du pitto
7 eille de n’y plus penser quelque temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l’heure. En pe
8 trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l’heure. En petit et intéressé, ce geste s’appelle coquetterie ;
9 sse traîner dans la sciure ou dans le gâtisme. On trouve que ça n’est pas distingué, et en effet, que serait un lyrisme distin
10 sur place qu’est un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qu
11 e le renvoie sur terre en forme de pluie. » Si je trouvais un jour l’Objet, il ne me resterait qu’à le détruire. (Aussitôt je co
12 celui qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu’il trouve. (1929 et 1
13 as. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu’il trouve . (1929 et 1930) 7. Rappelons que notre société est fondée sur la p
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
14 rlin » à côté d’un « Hypérion ». En cherchant, je trouverais bien aussi un « Nietzsche » à fond plat. Des saules se penchent vers
15 a eu tort, sans doute. Tout le monde s’accorde à trouver malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que mal finir. Ceux du
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
16 ici je m’adonne aux seuls crus germaniques. J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculptée du père Reinecke. (Il
17 urgeois de ce pays est puissamment réaliste. J’en trouve des marques bien curieuses dans les « considérations sur ma vie » du
18 ie, à la tombée du jour. L’esprit patient et fort trouve son repos dans les figures qu’il engendre. Il arrive aussi qu’il les
19 ue amie de haut parage spirituel. Le corps même y trouve sa part, car l’invention favorise la circulation du sang, amplifie le
20 nulle part. Me voici tout environné de ville. Où trouver ici la lenteur des choses ? Où le désir peut-il errer, se retournant
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
21 aldburg, qui sent encore le cuir, la chasse, j’ai trouvé tous les classiques français, et l’Encyclopédie. Même, un petit Volta
22 iance éducatrice, un organe de l’autonomie qui ne trouve nulle part où s’exercer : d’où les conflits purement « moraux » qui n
23 parer quelque battue prochaine.) Visiblement, ils trouvent leur plaisir dans ces longs mutismes de guetteurs, dont on ressort iv
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
24 moins préméditées, c’est sans doute celui d’être trouvé . J’ai toujours méprisé le geste de l’homme qui, le soir dans sa chamb