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de l’Europe au nom de la doctrine fédéraliste. Je
trouvais
cette doctrine impliquée dans une philosophie de la personne, que nou
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rs. Vous prenez cette amie dans vos bras, vous ne
trouvez
à dire que des phrases banales : « Viens ici qu’on se voie un peu. Eh
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onale. Un pays qui ne peut pas vêtir ses déportés
trouve
encore le moyen de faire des uniformes et discute la couleur des pare
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à rien, craignent d’être obligés de réfléchir, et
trouvent
commode de répéter les slogans ironiques des saboteurs — moutons cria
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s spirituellement. Et si son aide économique nous
trouvait
complaisants ou serviles dans le domaine des mœurs et de la culture,
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nce de la pensée fédéraliste étant précisément de
trouver
les moyens d’articuler, d’arranger sans les tuer, les diversités de t
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nous voyons se définir un certain idéal, qui n’a
trouvé
son nom qu’au xxe siècle, mais qui a toujours été l’axe de notre his
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ires », pas plus que la Finlande, ne pouvaient la
trouver
, jusqu’ici, ailleurs qu’à l’Est. À l’Ouest, qu’avions-nous à offrir ?
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liste ». En réalité, les groupes fédéralistes s’y
trouvaient
en minorité à tous égards. Tant par le nombre que par le prestige des
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défendues par la tendance fédéraliste — et qu’on
trouve
déjà formulées dans le rapport du congrès de Montreux — furent accept
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nérale des rapports préparés pour le congrès. On
trouvera
ci-après les documents qui résultèrent de ce travail. Le Rapport cult
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nous voyons se définir un certain idéal, qui n’a
trouvé
son nom qu’au xxe siècle, mais qui a toujours été l’axe de notre his
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que se donne librement tel peuple de l’Europe, il
trouvera
sa place dans l’Union s’il respecte les droits humains qui appartienn