1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 e qu’on sait de Neuchâtel dans le vaste monde. Je trouvais à peu près ceci : la Bible d’Ostervald, le chocolat Suchard, les mont
2 1948, Suite neuchâteloise. III
2 as chapitrale, où les trois quarts de la noblesse trouvent des paysans aux quatrième et cinquième échelons en remontant » (II. 6
3 1948, Suite neuchâteloise. IV
3 iècles. Dans l’ascendance directe de mon père, je trouve d’abord, dès la Réforme, deux « ministres du saint Évangile » et deux
4 miques de la prophétie…   « L’ennui que j’aime à trouver au fond de l’histoire n’est pas du goût de chacun », notait Chateaubr
5 directs du nom de mon père. Par les femmes, on en trouve quelques-uns, mais là encore les traditions intellectuelles et politi
6 du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle je trouve deux mathématiciens et ingénieurs, un diplomate et historien, une all
7 coutumes fort sages qu’en préjugés invétérés. Il trouvait dans son héritage des vertus de prudence, d’ordre et d’autorité, un g
4 1948, Suite neuchâteloise. V
8 rope franco-germanique, c’est que d’abord je l’ai trouvée dans ma famille, où tant de traditions se croisent et se marient. Pou
5 1948, Suite neuchâteloise. VII
9 est sens, écho, dialogue à l’infini. Ici la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre, la méditation des ciels bas,
10 et du Dernier des Mohicans de mon enfance. Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté ? … Et nous n’irons jamais au lac