1 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
1 lus follement imprudent que vos prudences ? Je ne trouve pas. On dirait que vous avez le trac. Vous répétez qu’il faut être pr
2 une entreprise aussi vaste. Ah ! pour le coup, je trouve cela « prématuré » (je m’excuse de parler comme un ministre). Car vou
3 s éternelles prudences nous cassent les pieds. On trouverait dans les procès-verbaux de votre première session consultative (au se
2 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
4 onale. Cet ami de l’unité siège parmi vous. Il va trouver sur vos banquettes des adversaires et des alliés inattendus. Les soci
5 ouverainetés. L’un nourrit l’autre, parce qu’il y trouve un alibi. Cette passion ne recourt à ce mythe que pour garder quelque
3 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
6 notre espérance. Si vous n’acceptez pas, vous ne trouverez derrière vous que le vide et l’indifférence ; et devant vous, le rire